"La Cité sans nom" est une nouvelle retraçant l'histoire d'un explorateur qui découvre une cité enfouie au milieu du désert arabe. Au plus profond des tunnels, il découvre des fresques évoquant une attaque de la ville ainsi que des momies d'êtres reptiliens. Il finit par comprendre que ceux-ci étaient les habitants de la cité. Il conclut que c'est de cet endroit que l'Arabe fou Abdul al-Hazred avait rêvé avant d'écrire : "N'est pas mort ce qui à jamais dort, Et dans les ères peut mourir même la Mort."

Ce roman est écrit à la première personne, par le Professeur William Dyer, un géologue de l'Université de Miskatonic. Il relate cette histoire afin de révéler des secrets fermement gardés...

Providence, Etats-Unis, 1918. Dès son enfance, Charles Dexter Ward s'est passionné d'histoire et de généalogie. Au hasard de ses recherches, il se découvre un ancêtre effrayant nommé Joseph Curwen, qui avait fui la ville de Salem lors des chasses aux sorciers du XVIIIe siècle, pour s'établir à Providence, où il décéda mystérieusement en 1771. Cette découverte est le début d'une obsession qui va virer à la folie. Obstinément, le jeune Ward s'évertue à retrouver les traces de cet énigmatique Joseph Curwen et commence à montrer un inquiétant mimétisme avec son aïeul...

La nouvelle retrace près de 30 ans de la vie de Nathaniel Wingate Peaslee, professeur d'économie politique à l'université de Miskatonic.

"L'homme en noir fuyait à travers le désert, et le Pistolero le suivait..." Ce Pistolero, c'est Roland de Gilead, dernier justicier et aventurier d'un monde qui a "changé" et dont il cherche à inverser la destruction programmée. Pour ce faire, il doit arracher au sorcier vêtu de noir les secrets qui le mèneront vers la Tour Sombre, à la croisée de tous les temps et de tous les lieux. Roland surmontera-t-il les pièges diaboliques de cette créature ? A-t-il conscience que son destin est inscrit dans trois cartes d'un jeu de tarot bien particulier ?