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La Vénus d'Ille
- Lu par : Alain Couchot
- Durée : 1 h et 13 min
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"Arria Marcella" est une nouvelle fantastique publiée pour la première fois en 1852. Trois jeunes gens visitent un musée napolitain dans lequel sont rassemblés les vestiges de Pompéi et Herculanum. L'un deux, Octavien, s'abime dans la contemplation du buste admirable d'une femme qui fut pétrifiée sous les cendres de l'éruption du Vésuve. Se rendant sur le site de Pompéi de nuit, il s'aperçoit à sa grande stupeur qu'il a remonté le temps et se trouve dans la ville telle qu'elle existait en 79 après JC. Il se mêle à la population et retrouve la belle inconnue.
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Don Diègue et le comte de Gomès projettent d'unir leurs enfants Rodrigue et Chimène, qui s'aiment. Mais le comte, jaloux de se voir préférer le vieux Don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant un soufflet. Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, demande à son fils Rodrigue de le venger; déchiré entre son amour et son devoir filial, ce dernier finit par accepter et tue le père de Chimène en duel.
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Fait pour être ecouté ?
- Écrit par : Marielle le 14/03/2020
Description
Le fils de M. de Peyrehorade, Alphonse, va se marier ; et le narrateur est convié à cette noce. Alphonse semble plus heureux de la dot de sa fiancée que de sa beauté... La noce aura lieu vendredi, jour de Vénus...
Une nouvelle fantastique de Prosper Mérimée.
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Ce que les auditeurs disent de La Vénus d'Ille
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Global
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Interprétation
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Histoire
- Paloo
- 31/01/2020
témoignage d'un monde à la plate narration
L'histoire est intéressante, rencontre d'un autre temps entre la ville et la campagne avec irruption du fantastique. Malheureusement, la narration reste, malgré les efforts du narrateur, extrêmement monocorde et uniforme, ce qui est assez dérangeant... Je n'ai fini l'écoute que par manque d'autre livre au moment où je l'ai écouté. Je suis contente d'être allée au terme de l'histoire finalement!.
1 personne a trouvé cela utile
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Global
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Interprétation
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Histoire
- Jean-Noel et Aline
- 25/10/2018
Un grand maître de la nouvelle !
Prosper Mérimée est un grand maître de la nouvelle, un peu oublié de nos jours cependant. C’est avec plaisir que je relis La Vénus d’Ille, publié en 1837, et qui illustre l’intérêt de l’auteur pour la littérature fantastique.
La narration est à la première personne ; dans une longue lettre, le narrateur raconte sa visite à un antiquaire passionné d'archéologie, M. de Peyrehorade, qui vient de découvrir une magnifique statue antique, une Vénus d’origine romaine ; un maléfice semble planer sur ce bel objet depuis qu’un ouvrier qui a participé à l'excavation de la statue a eu la jambe cassée et que d’étranges phénomènes se produisent autour d’elle. Le narrateur est convié aux noces du fils de ses hôtes qui doivent avoir lieu pendant son séjour.
L’écriture est chargée de mystère ; le suspense et la tension dramatique montent habilement en puissance entre l’effet d’annonce autour des réactions diverses devant la beauté ambiguë de la statue, les tentatives de traduction des inscriptions et les rappels de légendes antiques.
Il y a dans cette nouvelle, une véritable petite étude de mœurs assez savoureuse. Mérimée mêle à son récit des réflexions intéressantes sue le mariage et sur la situation de la belle fiancée, une jeune fille intelligente et raffinée, épousée pour sa dot par un jeune homme incapable de reconnaître ses grandes qualités ; l’auteur développe un vrai talent pour les descriptions colorées et pittoresques, pour les digressions détaillées, une certaine distance objective, un détachement critique voire un humour certain.
J’ai particulièrement apprécié la description de la noce, le parcours en calèche sous les acclamations. Le contraste est frappant et toujours présent dans le récit entre la véritable érudition du narrateur, un archéologue parisien, et l’amateurisme m’as-tu-vu de l’antiquaire roussillonnais. Tous les personnages sont, par ailleurs, finement travaillés malgré la brièveté du texte ; hormis ceux dont j’ai déjà parlé, je peux ajouter que le fils de famille est particulièrement sot, imbu de sa personne et imprudent, que sa mère est une bonne bourgeoise de province à l’esprit étroit et méfiant.
Quant au narrateur, j’ajouterai simplement qu’il est un double intra-diégétique de Prosper Mérimée qui lui prête sa concision, son sens aigu de l’observation, son détachement, son style factuel, son esprit cartésien et logique et, enfin, ses propres doutes ; à ce titre, je me demande s’il faut voir dans le dénouement une quelconque morale…
En ce qui concerne le côté purement fantastique, il est important de remarquer que le dédoublement de l’objet étrange est particulièrement subjectif : en effet, le narrateur n’est pas vraiment témoin des évènements surnaturels et il ne les subit pas personnellement ; il est troublé et intrigué. Il nous livre donc ses réflexions notamment sur la symbolique de l’échange des anneaux, sur le choix du fiancé porté sur un bijou trop voyant, sur les doigts de la statue.
Il y a quelque chose de dérangeant dans le simulacre de culte païen envers la Vénus, la manière dont, malgré les à priori de la mère du marié, elle est en quelque sorte associée aux festivités du mariage et surtout, dans les allusions grivoises de l’antiquaire qui la compare à la mariée. Il y a souvent un effet miroir entre la jeune femme et la statue, une constante comparaison et opposition en filigrane.
Ç'aurait dû être un réel plaisir de relire cette nouvelle.
Malheureusement, j’ai choisi cette version audio, lu par Alain Couchot, dont la diction grandiloquente et sur-jouée dessert le texte original ; de plus, des intermèdes musicaux de style baroque qui n’ont absolument rien à voir avec l’ambiance de la nouvelle en parasitent l’écoute.
J’ai donc repris le texte pour me réapproprier cette nouvelle et rendre justice à l’auteur.
1 personne a trouvé cela utile
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Global
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Interprétation
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Histoire
- GALIBY Daisy
- 16/05/2018
Un vrai plaisir
Ce fut un vrai plaisir d'écouter cette oeuvre magnifique en version audio. Pour avoir étudié cette nouvelle en classe de Seconde il y a plusieurs années, j'ai le livre à la maison. la version audio est juste magistrale.
1 personne a trouvé cela utile
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Global
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Interprétation
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Histoire
- Charlotte Plaisant
- 13/11/2021
Petite nouvelle rapidement écoutée et appréciée
Bien narrée, cette nouvelle est divertissante. Son format court en fait un audiobook agréable. Parfait pour supporter la lecture du livre chez des adolescents.
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Global
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Interprétation
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Histoire
- Amazon Customer
- 18/02/2020
Diction vieillotte
Diction vieillotte, scolaire. Irritante manière de prononcer Peyrehorade, "Peyreu-orade". Au bout de 15 minutes, j'ai laissé tomber l'écoute pour lire la nouvelle.