Épisodes

  • Choses à Savoir SANTE - Pourquoi le suicide est la première cause de mortalité des jeunes mères ?
    Jul 13 2025

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    C’est une triste réalité que nous apprend l’Inserm. Au terme d’une enquête sur le décès de jeunes mères venant d’accoucher entre 2016 et 2018, il apparait que la cause numéro 1 de mortalité est le suicide. Cette forme de décès concerne ainsi 45 femmes sur les 272 cas étudiés. Qu’est-ce qui pousse les jeunes mères à se donner la mort alors qu’elles vivent à priori l’un des plus beaux moments de leur vie ?

    Contexte du post-partum

    Dès la naissance du bébé commence le post-partum, une période qui peut durer plusieurs mois et touche particulièrement la mère lors de sa première grossesse. Des changements hormonaux significatifs s’opèrent, bouleversant la façon de penser et de réagir de la femme. Si l’objectif évolutif de ces modifications est que la mère fusionne avec son bébé afin de répondre à ses besoins, la réalité montre que cette étape peut être difficile à vivre, surtout pour les mamans qui étaient très actives avant la naissance.

    Les jeunes mères se retrouvent souvent avec un corps qui ne leur plait pas, avec une grande charge mentale et une fatigue permanente qui usent leurs ressources. Les attentes sociétales concernant la maternité s’avèrent parfois si élevées qu’elles semblent inatteignables.

    Le risque majeur, durant le post-partum, est de développer une dépression. Cependant, il ne s’agit pas de l’unique cause des suicides maternels. L’instabilité dans laquelle se retrouve la mère peut aussi exacerber d’anciens troubles psychiatriques prédisposant au suicide.

    Les facteurs de risque

    Certains éléments doivent alerter le corps médical sur les risques majorés de suicide. Les mères qui ont connu des dépressions ou des troubles psychiatriques avant la grossesse sont plus à même d’avoir du mal à gérer la situation. La dépression du post-partum, caractérisée par une tristesse persistante, un manque d’intérêt général et des pensées parfois morbides envers l’enfant, augmente considérablement le risque de suicide.

    D’autres facteurs contribuent aussi à élever ce risque. L’isolement social et le manque de soutien après la grossesse peuvent mettre à mal les capacités de la femme à s’occuper de son bébé. Un couple instable ou une famille isolée souffrira davantage de la situation. Les difficultés financières peuvent aussi aggraver l’isolement et limiter les opportunités maternelles de chercher de l’aide. Finalement, tout l’environnement de la dyade mère-bébé contribue à amplifier ou réduire le risque de mort maternelle.

    Le silence, délétère pour les jeunes mamans

    La grossesse, l’accouchement puis la naissance et les premiers mois avec bébé engendrent des bouleversements majeurs dans la vie de la femme. Il est essentiel qu’elle puisse exprimer son ressenti sur ce qu’elle a vécu. Or, la société et le corps médical procurent beaucoup moins d’attention aux jeunes mamans après la naissance que pendant la grossesse. Cela rend plus difficile le fait de se faire aider, et surtout, de faire reconnaitre les difficultés traversées.

    Les jeunes mères qui ne parviennent pas à exprimer des traumatismes ou des émotions très fortes vécues durant l’accouchement et le post-partum sont chargées d’un poids supplémentaire qui, ajouté à la charge déjà monumentale parentale, peut influencer négativement la santé mentale.

    L’enjeu des pouvoirs publics est donc de travailler sur l’accompagnement des jeunes mères pour repérer les profils à risque et proposer des prises en charge précoces en prévention du suicide.

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  • Choses à Savoir - Culture générale - Pourquoi les drapeaux de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande se ressemblent-ils ?
    Jul 13 2025

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    Avec l'hymne national, le drapeau représente un des symboles essentiels de l'identité d'un pays. Or, certains de ces pavillons se ressemblent beaucoup. C'est le cas des drapeaux de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande qui, de fait, sont très similaires.


    Anciennes colonies britanniques et membres du Commonwealth, ils arborent tous les deux, sur le coin gauche de l'étendard, l'"Union Jack", le drapeau britannique.


    Pour le reste, les deux drapeaux affichent des étoiles : sept étoiles blanches pour le drapeau de l'Australie, quatre étoiles rouges, avec un liseré blanc, pour la Nouvelle-Zélande.


    Sur le drapeau australien, six des branches de l'étoile située sous l'"Union Jack" représentent les six premiers États australiens, la septième symbolisant les futurs États. Quant aux étoiles situées sur la partie gauche des deux drapeaux, elles représentent la constellation de la Croix du Sud, présente dans l'hémisphère Sud.


    La similitude entre ces deux drapeaux est d'ailleurs telle qu'elle suscite un différend entre les deux pays. En effet, les autorités néo-zélandaises demandent à l'Australie de modifier son drapeau, au motif qu'il est trop proche du drapeau de la Nouvelle-Zélande.


    Et elles font cette requête au nom de l'antériorité de leur étendard national. En effet, même s'il n'est vraiment devenu officiel qu'en 1902, il existe sous sa forme actuelle depuis 1869. Alors que le drapeau fédéral australien n'a été adopté, avec son dessin actuel, qu'en 1901, pour devenir l'emblème national officiel en 1954.


    Les Néo-Zélandais soutiennent d'ailleurs cette initiative de leur gouvernement. Selon un récent sondage, en effet, plus de 60 % des personnes interrogées pensent que l'Australie doit changer son drapeau.


    En revanche, les habitants de la Nouvelle-Zélande ne semblent pas prêts à modifier leur propre drapeau. En effet, le gouvernement avait proposé que l'Union Jack, qui, selon ses dires, exprime une dépendance symbolique par rapport au Royaume-Uni, et ne représente plus vraiment l'identité néo-zélandaise, soit remplacé par d'autres motifs.


    Mais, finalement, près de 57 % des électeurs se sont prononcés pour le maintien du drapeau actuel.

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    2 min
  • Nota Bene - NOTA BENE - Quel lien entre Napoléon et la Franc-maçonnerie ?
    Jul 13 2025

    Mes chers camarades, bien le bonjour !

    Ce n’est pas rare d’entendre que la Franc-maçonnerie va de paire avec la République, et pourtant, il y a une grande part d'idées reçues là-dedans ! Idées reçues qui ne sont d’ailleurs pas neuves du tout, puisqu’elles se sont forgées peu après la Révolution française. Pourtant, on le sait maintenant, cette idée est largement fausse, et cette association n’est d’ailleurs pas toujours allée de soi. Aujourd’hui, on va le montrer en s’intéressant plus particulièrement aux relations de cette organisation avec un autre régime politique, le Premier Empire, au début du XIXe siècle. Si vous vous attendez à des théories du complot sur des satanistes, des reptiliens, ou des judéo-bolchéviks, vous allez être déçus. Mais si vous voulez en savoir plus sur cette mystérieuse organisation qu’est la Franc-maçonnerie et sur une page importante de son histoire, alors vous êtes au bon endroit !

    Bonne écoute !


    🖋 Écriture : Benjamin Brillaud, Damien Trentedeniers (Religare), Jean de Boisséson


    ➤ Découvrez la chaîne de Damien, Religare : https://www.youtube.com/@Religarelachaine


    🎧 Mixage : Studio Pluriel : https://www.studiopluriel.fr/


    ➤➤➤ Pour en savoir plus :

    LIVRES UNIVERSITAIRES :

    - BEAUREPAIRE Pierre-Yves, L’Europe des francs-maçons (XVIIIe -XXIe siècle), Paris, Belin,

    2002.

    - COLLAVERI François, Napoléon, Empereur franc-maçon, Paris, Bibliothèque

    Napoléonienne, Tallandier, 1986.

    - HIVERT-MESSECA Gisèle, HIVERT-MESSECA Yves, Femmes et franc-maçonnerie Trois

    siècles de franc-maçonnerie féminine et mixte en France de 1740 à nos jours, Dervy, 2015.

    - KERJAN Daniel, Rennes : les francs-maçons du Grand Orient de France / 1748-1998 : 250

    ans dans la ville, Presses Universitaires de Rennes, 2005.

    - MOLLIER Pierre (dir.), La Franc-Maçonnerie sous l’Empire : un âge d’or ?, Dervy, 2007.

    - MOLLIER Pierre, PINAUD Jean-François, L’État-major maçonnique de Napoléon, A l’Orient,

    2009.


    ARTICLE UNIVERSITAIRE :

    - COMBES André, « Réformistes et révolutionnaires dans la Maçonnerie (1815–1871) »,

    Humanisme, n°295, 2012, p. 55 à 60.

    - BEAUREPAIRE Pierres-Yves, « La République universelle des francs-maçons : une utopie

    des Lumières », La chaîne d’union, n°72, 2002.

    - BEAUREPAIRE Pierres-Yves, « La Franche-Maçonnerie rendue à sa véritable origine.

    Quête des origines et invention d’une tradition (XVIIIe -XIXe siècle) », dans Circulation,

    métissage et culture matérielle (XVIe -XXe siècles), Christophe Bouneau et Michel Figeac

    (dir.), Paris, Garnier, 2017, p.267-279.

    - GREGOIRE Laurence, « La franc-maçonnerie parisienne (1852-1870) », Dans Parlement[s],

    Revue d'histoire politique, 2008/3 (n°HS 4), pages 98 à 115.


    ARTICLE DE PRESSE :

    - BOUDON Jacques-Olivier, « Napoléon, empereur des franc-maçons », Historia, 20 août

    2023

    - KUPFERMAN Laurent, « Ce que la République doit aux Francs-maçons », BNF, Les

    essentiels, 2016


    ET AUSSI :

    - La Constitutions d’Anderson est consultable dans son intégralité sur Wikisources :

    https://fr.wikisource.org/wiki/Constitutions_d%E2%80%99Anderson

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  • Choses à Savoir - Culture générale - Pourquoi mordre une feuille d’aluminium est-il désagréable ?
    Jul 12 2025

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    Je réponds de façon claire et directe à cette question en deux minutes !

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  • Choses à Savoir SANTE - Pourquoi la présence de sucre dans les aliments industriels salés pose un problème ?
    Jul 11 2025

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    L’excès de consommation de sucre augmente les risques d’obésité et de diabète. Ce fait bien connu des autorités sanitaires explique la mise en place de certaines actions, comme la disparition des distributeurs de snacks dans les collèges, ou les indications de prévention appliquées sous les publicités de friandises. Mais, pour limiter le sucre, encore faut-il pouvoir détecter sa présence.

    L’industrie alimentaire et ses tendances à ajouter du sucre

    C’est bien le problème que soulève l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation. En mars dernier, son rapport indiquait que 77% des aliments industriels contenaient des produits sucrants, y compris des aliments à priori salés. Indétectables au goût, ces sucres alourdissent l’addition calorique de la journée sans que le consommateur n’en soit pleinement conscient. Qui penserait que consommer un plat de viande préparé équivaudrait à boire une cannette de soda ?

    L’incorporation de sucre ajouté se fait souvent de façon biaisée, avec des noms méconnaissables comme le dextrose, le maltose ou le sirop de maïs. Cette pratique courante dans le monde de l’industrie alimentaire vise à améliorer le goût des aliments, mais aussi à masquer l’amertume de certains ingrédients ou à prolonger la durée de conservation du produit.

    De graves risques pour la santé

    Souvent, les consommateurs ne se rendent pas compte qu’ils ingèrent du sucre en excès en consommant des aliments industriels. Ils sont alors plus susceptibles de dépasser les seuils recommandés pour la prise quotidienne de sucre. Les risques liés à cette surconsommation de produits sucrés sont pluriels.

    D’abord, l’obésité est fortement associée à un apport élevé en sucre, en particulier à travers les aliments transformés. Le diabète de type 2, qui se caractérise par une glycémie trop élevée, est aussi corrélé à cette surconsommation. Un régime riche en sucres ajoutés augmente les risques de maladie cardiovasculaire à cause de son impact sur le poids, sur la tension et sur l’inflammation. Finalement, la consommation de sucre favorise l’émergence de caries en nourrissant les bactéries qui produisent de l’acide.

    Étiquetage et transparence

    Pour aider les individus à manger équilibré et à mieux gérer leur consommation de sucre, plusieurs pistes sont exploitées. L’étiquetage, en premier lieu, est constamment ajusté pour fournir des informations plus claires et plus compréhensibles. Il doit notamment faire figurer la quantité de sucres en grammes et en pourcentage de l’apport journalier conseillé.

    Les autorités sanitaires misent aussi sur l’éducation des consommateurs en leur fournissant des aides pour reconnaitre les différents noms du sucre sur la liste des ingrédients. Cet apprentissage devrait se traduire de façon adaptée dès le plus jeune âge.

    Des applications mobiles permettent en outre de vérifier la teneur en sucre d’un aliment. En scannant le code-barre, le consommateur peut obtenir des informations nutritionnelles détaillées et une note qui lui permet de faire un choix plus avisé.

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    2 min
  • Nota Bene - ENTRETIEN - De l’archéologie des conflits napoléoniens ? - Avec Frédéric Lemaire
    Jul 11 2025

    Mes chers camarades, bien le bonjour !

    On va pas se mentir, les guerres napoléoniennes, il y a beaucoup d’archives qui en parlent. Sauf que pour les connaître aujourd’hui, on ne s’y limite pas : il y a aussi l’archéologie ! Et il n’y a pas à dire, des sites il y en a : des champs de bataille bien sûr, mais aussi des lieux de vie comme des camps semi-permanents pour les soldats, ou même des lieux d’emprisonnement comme l’île de Cabrera. Et ça tombe bien, parce que l’invité de l’entretien du jour a fouillé sur ces trois types de site ! Il s’agit de Frédéric Lemaire, un archéologue spécialisé dans les conflits récents, et vous l’aurez compris en particulier napoléoniens ! Alors que trouve-t-on sur ces sites, et que nous permet d’apprendre l’archéologie sur ce sujet ? On va le découvrir avec Frédéric !

    Je vous souhaite une bonne écoute sur Nota Bene !


    ➤ Pour aller plus loin, jetez un œil…

    ➜ …au dossier “Archéologie des Guerres de Napoléon” dans le n°639 d’Archéologia : https://www.faton.fr/archeologia/numero-639/archeologie-guerres-napoleon.54687.php

    ➜ …au site de l’AASCAR : https://www.aascar.org/


    🎧 Mixage : Studio Pluriel : https://www.studiopluriel.fr/


    ➤➤➤ Pour en savoir plus :

    • Les prisonniers de Cabrera. Mémoires d'un conscrit de 1808, Philippe Gille, 1892 : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6536505w.texteImage
    • Les soldats oubliés de Napoléon: prisonniers sur l'île de Cabrera, 1809-1814, Denis Smith, 2005.
    • Alain Fournier et ses compagnons d'arme: Une archéologie de la Grande-Guerre, Frédéric Adam, 2006.
    • L'archéologie de la Grande Guerre, Alain Jacques, Gilles Prilaux, Yves Desfosses, 2013.
    • Archéologie de la France moderne et contemporaine, Florence Journot, GIlles Bellan, 2011.
    • Les publications de Jean-Paul Demoule : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Demoule#Publications
    • Vivre la Grande Armée. Etre soldat au temps de Napoléon, François Houdecek, 2023.
    • La Grande Armée : Analyse d'une machine de guerre, Jean-François Brun, 2023.
    • Dans les rangs de la Grande Armée de Napoléon, Michel Roucaud, 2021.

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    1 h et 57 min
  • Choses à Savoir CERVEAU - Le stress durant l’adolescence peut-il laisser des traces sur le cerveau ?
    Jul 11 2025

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    L’adolescence est une période de grands changements. Avec la puberté, le corps change, tant sur le plan physique avec une croissance rapide, que sur le plan physiologique afin d’aboutir à la maturité sexuelle.

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    2 min
  • Choses à Savoir - Culture générale - Pourquoi « Mayday » est-il un message de détresse ?
    Jul 11 2025

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    Dans les films "catastrophes", où les navires et les avions courent de grands périls, on entend souvent l'opérateur radio lancer, d'une voix angoissée, le message suivant, "mayday", répété trois fois.


    Dans la vie aussi, ce message de détresse est le même. Mais d'où vient-il ? Pour comprendre son origine, il faut remonter à 1923.


    En ces débuts de l'aviation commerciale, tout ou presque était à inventer. Ainsi, à cette époque, il n'existait pas de signal de détresse universel. C'est un officier radio de l'aéroport de Croydon, au Royaume-Uni, qui fut chargé d'en trouver un.


    Il fallait que ce message fût assez simple pour être compris par tous les pilotes, quelle que soit leur nationalité.


    L'opérateur radio chargé de cette mission se met alors à réfléchir. Puisant dans ses souvenirs, il se rappelle que, deux ans auparavant, en 1921, il avait perçu le message de détresse d'un pilote en difficulté.


    Comme il était français, ce pilote s'était exprimé dans sa langue. Il avait donc dit dans sa radio : "venez m'aider". Ce que, dans son ignorance de la langue de Molière, l'opérateur radio avait traduit par "mayday".


    Il propose alors à ses supérieurs de faire de ce terme, "mayday", le message universel à utiliser en cas de situation de détresse. Mais il ne sera définitivement adopté que quatre ans plus tard, en 1927, par la convention internationale de télégraphie.


    "Mayday" deviendra alors officiellement l'équivalent du "SOS", un message de détresse transmis au moyen du code morse.


    Aujourd'hui, le mot "mayday" peut être utilisé aussi bien par les pilotes d'avions que par les capitaines de navires. Pour être pris en compte, il doit être répété trois fois.


    Et il doit être réservé à des cas de détresse avérée. En effet, ce message ne doit être émis que si des vies humaines sont en danger, du fait d'un incendie, d'une collision avec un obstacle ou un autre bateau, d'un début de naufrage ou, dans le cas d'un avion, si, par exemple, les commandes ne répondent plus.

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    2 min