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L'Engrenage du mal

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L'Engrenage du mal

De : Nicolas Feuz
Lu par : Baptiste Chalmel
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À propos de ce contenu audio

Le procureur Feuz est de retour et vous entraîne dans les tréfonds de la terre Frontière franco-suisse.

Quatre hommes se réveillent dans une grotte souterraine. Aucun d'eux ne sait pourquoi il est là. Mais le temps presse, l'eau monte, menaçante. Ils ont une heure, pas une minute de plus, pour découvrir les liens qui les unissent.

Au même moment, le procureur Norbert Jemsen et sa fidèle greffière Flavie Keller reprennent du service. Leur amie, l'inspectrice Tanja Sojkaj, a besoin d'aide pour retrouver celui qui a détruit sa famille.

Une plongée vertigineuse au centre de la terre.

Nicolas Feuz est le procureur du canton de Neuchâtel. Les trois polars qu'il a publiés chez Slatkine & Cie, repris au Livre de Poche, ont chaque fois été numéro 1 des ventes en Suisse : Le Miroir des âmes (2018), L'Ombre du renard (2019), L'Engrenage du mal (2020) qui reprennent le personnage récurent du Procureur Jemsen. Il a en outre publié quotidiennement en ligne pendant le premier confinement le feuilleton d'un polar devenu depuis un livre-événement : Restez chez vous (2020). En 2021, il sort Heresix, son premier polar se déroulant en France.

©2022 SAGA Egmont (P)2022 SAGA Egmont Psychologie Suspense Thrillers et romans à suspense
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Bonne écoute !

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    Couverture de Le Bureau des affaires occultes
    Tout
    Le plus pertinent
    Bravo chouette

    Par contre pour le narrateur Morges se prononce morge et non Morgue 🤷‍♂️ y’a pas de U.

    Ça irrite les oreilles 😰

    Belle imagination

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    Par contre il faudra dire au narrateur que la ville de Morgue n’existe pas en Suisse. Par contre, Morges oui, mais ça se prononce Morje.😉

    Bonne histoire bien tordue

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    Sur le fond, c'est original : une policière qui se retrouve sur le banc des accusés, probablement piégée mais qui a visiblement "pété un plomb".
    Sur la forme, l'histoire est difficile à suivre, car plusieurs époques et plusieurs intrigues s'entremêlent, sans aucune transition.
    La lecture ne facilite pas la compréhension : le comédien récite plus qu'il n'interprète l'oeuvre.
    Mais alors, surtout, MES OREILLES SAIGNENT d'avoir entendu, à tout bout de champ : "les quatre- Z-hommes" : indigne d'un comédien professionnel !

    histoire complexe, j'étais un peu perdu

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    Très déçue. Mauvaise lecture. Scolaire...
    Les va-et-vient non datés, et absolument pas marqué par le lecteur, compliquent une histoire déja brumeuse.

    La mauvaise performance du lecteur.

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    Bravo à l’auteur pour avoir imaginé cette histoire. Néanmoins, le style est plutôt moyen, usant des clichés de roman policier, et la lecture trop rapide et assez monotone n’améliore pas l’histoire. Pourtant client de ce type de roman, je n’ai pas été convaincu et j’avais hâte d’arriver à la fin

    Bof

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    Pas assez de pause entre le passé et le présent. Le narrateur aurait pu faire des pauses ou ajouter de la musique
    Belle histoire, contente de trouver une histoire qui se passe en Suisse Romande
    Le narrateur ne connaît pas les lieux et estropie les noms : Ansermet, Morges etc. C’est très dommage.

    Nom propres estropiés

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    Une histoire prenante, des lieux connus, un bon suspense. Dommage que le lecteur ne connaisse pas certaines règles de prononciation, car il estropie des noms de personnes et de lieux, et cela est désagréable à l'oreille. Il y a une différence entre "morgue" et "Morges", tout comme entre "orgue" et "orge": le U a son importance, tout comme son absence... Idem pour Valengins, comme un engin, et non comme sanguin. Et le patronyme Ansermet ne se prononce pas "anne-serre-mette", mais juste "an-serre-mais". Je passe les autres, mais je précise tout de même que dans l'adjectif "neuchatelois", le E est muet... Sinon il est bon!

    Bien ficelé!

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    Jusqu'où peut aller une mère pour protéger son enfant ?

    Nicolas Feuz nous entraîne dans une intrigue tortueuse.
    Alors que l'inspectrice Tanja Sojkaj revient d'une mission en Corse, elle apprend que sa mère a été assassinée et que son fils de deux ans a disparu.
    A travers son désespoir et sa rage, elle est prête à tout pour découvrir qui est l'auteur de ce crime et retrouver son fils.

    La construction du récit qui alterne les temporalités donne un rythme soutenu à l'histoire. Parfois difficile à suivre, mais sans doute dû au fait que j'ai écouté ce roman plutôt que le lire.
    Entre chronologie des événements et scènes du procès, le suspense est savamment distillé.

    La voix de Baptiste Chalmel porte vraiment bien chacun des personnages. Ça a été un plaisir de l'écouter.

    J'ai beaucoup aimé ce polar et j'enchaîne directement avec l'écoute de "Brume rouge" du même auteur.

    Machiavélique

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    c'est mon deuxième Nicolas Feuz que dire, j'ai kiffé grave 🤣.
    Je suis bien contente d'avoir visité cette été, les Moulins souterrains cela donne encore plus de réalité quand on connaît les lieux 😀.
    Le narrateur était pas mal mais aurait pu se renseigner pour le prononcé de certains lieux et le prix est un peu cher pour le temps d'écoute, heureusement que je suis abonnée

    wouaw quel talent et imagination

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    Je n’ai pas apprécié la narration, ce qui dessert vraiment l’histoire.
    Voix monocorde, liaisons là où il ne devrait pas y en avoir, le nom de la ville de Morges prononcée chaque fois « morgue », comme si la lettre g suivie d’un e donnait le son gue comme dans guerre … et plusieurs erreurs de ce style. Dommage.
    Par contre histoire intéressante quand on comprend le mélange des périodes, et c’est plaisant quand on connaît la région.

    Dubitative

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