Épisodes

  • Franck Chaumès - Eté 2025: pourquoi les français boudent les restaurants?
    Aug 6 2025
    C dans l'air l'invité du 5 août avec Franck Chaumès, Président de l’UMIH Restauration.

    Émission présentée par Saliah Brakhlia

    À mi-parcours de l’été, les chiffres sont préoccupants pour la restauration : la fréquentation des établissements chute de 20 % en moyenne, jusqu’à 30 % dans certaines régions. Trop chers, moins attractifs : les Français fréquentent moins les restaurants et adaptent leur consommation. Beaucoup se tournent vers les fast-foods ou font leurs courses en grande surface pour cuisiner eux-mêmes. Dans certains villages, ce sont désormais les “marchés gourmands” qui attirent les foules. Une formule festive, portée par des associations, mais que les restaurateurs jugent comme une “concurrence déloyale”.

    Le malaise est plus profond : les coûts de production augmentent, leurs marges s’effondrent et 25 restaurants ferment chaque jour, selon l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie). Dans ce contexte économique fragile, la réforme des titres-restaurant cristallise les tensions. Leur utilisation élargie aux courses alimentaires détourne les clients des établissements. Les professionnels réclament l’instauration d’un double plafond, plus élevé dans les restaurants que dans la grande distribution, et alertent sur un manque à gagner estimé à 1,5 milliard d’euros.

    Côté main-d’œuvre, la situation reste fragile. Le secteur peine à recruter, malgré des hausses de salaires. Les restaurateurs demandent aussi que l’exonération de charges sur les pourboires, actuellement réservée aux salariés gagnant jusqu’à 1,6 SMIC, soit étendue, puisque pour eux, chaque levier compte. Dans un climat où la clientèle se montre de plus en plus attentive à son budget, les professionnels alertent : l’été 2025 pourrait laisser des traces durables dans le secteur.

    Pourquoi les vacanciers boudent-ils les restaurants ? Est-ce devenu trop cher de se mettre à table ?

    Franck Chaumès, président de l’UMIH Restauration, tire la sonnette d’alarme face à une chute de 20 % de la fréquentation cet été. Il nous expliquera pourquoi les Français, de plus en plus nombreux, délaissent les restaurants.

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    13 min
  • Droits de douane : les Européens entre soumission et colère - Vos questions sms -
    Aug 5 2025
    C dans l'air du 5 août 2025 : Droits de douanes américains, Chine...l'Europe prise en étau

    Émission présentée par Saliah Brakhlia


    LES EXPERTS :
    - Éric ALBERT - Journaliste en charge des questions économiques et européennes - Le Monde
    - Sylvie MATELLY - Économiste, directrice de l’Institut Jacques Delors, auteure de "Géopolitique de l’économie"
    - Marc VIGNAUD - Journaliste économique - L’Opinion
    - François GEEROLF - Économiste - OFCE

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    6 min
  • Droits de douane : les Européens entre soumission et colère - L'intégrale -
    Aug 5 2025
    C dans l'air du 5 août 2025 : Droits de douanes américains, Chine...l'Europe prise en étau

    Émission présentée par Saliah Brakhlia

    Les nouveaux droits de douane de 15% entre les Etats-Unis et l'Europe entreront en vigueur jeudi. Mais déjà, plusieurs voix s'élèvent pour critiquer l'accord obtenu entre la Commission européenne et la Maison Blanche. Ancien ministre de l'Économie, Thierry Breton considère que cet accord est "déséquilibré", et qu'il a été imposé par Washington, alors même que l'Europe est le premier partenaire commercial des Etats-Unis. Ce week-end, l'ancien Premier ministre Michel Barnier a vivement critiqué Ursula Von Der Leyen, qualifiant la négociation d'"immense défaite". Parmi les secteurs les plus touchés, les produits pharmaceutiques (120 milliards d'euros d'exportation en 2024), et les vins et spiritueux (8 milliards) s'inquiètent de leur avenir. Le secteur du luxe devrait s'en sortir un peu mieux, en répercutant la hausse des droits de douane sur les prix. Quant à l'industrie aéronautique, elle a bénéficié d'une exemption de droits de douane.

    Autre victime de la guerre commerciale, l'industrie automobile est en berne : fin juillet, le groupe franco-italien Stellantis (Peugeot, Fiat, Chrysler…) a annoncé une perte de 2,3 milliards d'euros sur le premier semestre, notamment en raison d'une baisse des ventes de véhicules en Europe et aux Etats-Unis. En Allemagne, l'automobile est aussi en crise. Mercedes a annoncé fin juillet une chute de 69% de son bénéfice au deuxième trimestre, et Porsche de 91% par rapport à la même période en 2024. Le marché du véhicule haut de gamme allemand, qui se tournait avant tout vers la Chine, est confronté à un repli des consommateurs sur leur propre marché : ces derniers privilégient désormais les marques chinoises plus abordables et connectées, à l'image de la berline Xiaomi SU7, trois fois moins chère qu’une Porsche Taycan.

    Et les Chinois ne se contentent pas d'envahir le marché de l'automobile européen. Ils investissent également dans les autres secteurs clés. Fin mai, le groupe chinois Wanrun a ainsi repris Safra, le seul constructeur français d'autobus à hydrogène, qui avait été placé en redressement judiciaire depuis février. Le consortium chinois a repris pour 7 millions d'euros l'ensemble des activités du groupe ainsi que 120 salariés (sur 169). Ce rachat n'avait pas plu à tout le monde : "Au moment où le gouvernement en appelle à la souveraineté industrielle et veut renforcer les territoires d’industrie, (…) une nouvelle erreur se profile à Albi si le tribunal de commerce faisait le choix du groupe asiatique", avait pointé Jean-Louis Chauzy, le Président du Conseil Economique et social de Midi-Pyrénées. D'autant que l'offensive chinoise ne se limite pas à Safra : ces derniers mois, Vencorex, l’un des fleurons français de la chimie, et l'équipementier automobile GMD ont subi le même sort.

    L'Union européenne peut-elle espérer de nouvelles négociations sur les 15% de droits de douane imposés par les Etats-Unis ? Quels secteurs économiques vont être les plus touchés ? Comment expliquer les difficultés de l'industrie automobile européenne ? Et faut-il craindre les rachats d'entreprises françaises par les Chinois ?

    LES EXPERTS :
    - Éric ALBERT - Journaliste en charge des questions économiques et européennes - Le Monde
    - Sylvie MATELLY - Économiste, directrice de l’Institut Jacques Delors, auteure de "Géopolitique de l’économie"
    - Marc VIGNAUD - Journaliste économique - L’Opinion
    - François GEEROLF - Économiste - OFCE

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    1 h et 7 min
  • Plana Radenovic - Vendin-le-vieil: les débuts d'une prison hors-norme
    Aug 5 2025
    C dans l'air l'invitée du 4 août avec Plana Radenovic, journaliste police-justice à RTL, auteure de "Depuis l'enfer gris, Lettres de Redoine Faïd" (éditions Michalon).

    Émission présentée par Salhia Brakhlia.

    À Vendin-le-Vieil, dans les Hauts-de-France, 69 détenus ont déjà été transférés dans la prison de haute sécurité. Ils seront 100 d’ici au 15 août. Parmi eux, les profils les plus dangereux du pays :terroristes, narcotrafiquants, figures du grand banditisme. On y retrouve Mohamed Amra, Salah Abdeslam, Redoine Faïd, ainsi que plusieurs chefs de la "DZ Mafia", un réseau de trafic de drogue très actif à Marseille, impliqué dans des règlements de comptes. Les transferts s’effectuent sous très haute sécurité, parfois par hélicoptère, depuis l’attaque du péage d’Incarville en mai 2024, qui a coûté la vie à deux agents pénitentiaires.

    Le personnel a été spécifiquement formé. À Vendin-le-Vieil, 250 agents encadrent les 100 détenus, soit un dispositif de surveillance sans équivalent en France. Brouilleurs de téléphonie mobile, filets anti-hélicoptère, hygiaphones, surveillance renforcée dans les cours : tout est pensé pour éviter toute communication avec l’extérieur et prévenir les tentatives d’évasion. Ces détenus conservent leurs droits fondamentaux : accès aux soins, possibilité de recours judiciaires. Comme Redoine Faïd, certains dénoncent un régime carcéral très strict : isolement prolongé, déficit de lumière naturelle, menottage systématique. Ce dernier a saisi la justice pour contester ces mesures, qui a d’ailleurs ordonné un assouplissement de son cadre d’incarcération, dénonçant des mesures " contraires à la dignité de la personne humaine".

    L’objectif de cette prison de haute sécurité est de mieux répondre à la montée du narcotrafic, devenu omniprésent sur le territoire. L’OFAST (Office anti-stupéfiants) alerte dans son dernier rapport : la France ne connaît plus aucune "zone blanche" face à l’offre de drogue. Dans le même temps, la surpopulation carcérale bat des records : au 1er juillet 2025, on comptait 84 951 détenus pour seulement 62 509 places. Le système pénitentiaire français est-il à bout de souffle ? Quelles sont les conditions réelles de détention dans ces établissements ultra-sécurisés ? Et qui sont ces détenus classés "ultra-sensibles" ?

    Plana Radenovic, journaliste police-justice à RTL, nous expliquera qui sont les détenus incarcérés à la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil et fera le point sur leurs conditions de détention.

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    13 min
  • Trump-Poutine : la menace de la guerre nucléaire - Vos questions sms -
    Aug 4 2025
    C dans l'air du 4 août 2025 : Trump-Poutine : la menace de la guerre nucléaire

    Émission présentée par Salhia Brakhlia


    LES EXPERTS :
    - Richard WERLY - Correspondant France/Europe - Blick.fr
    - Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace et ancien pilote de chasse - James ANDRÉ - Grand reporter - France 24
    - Marie JÉGO - Journaliste - Le Monde

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    11 min
  • Sous-marin Russe: Trump défie Poutine - L'intégrale -
    Aug 4 2025
    C dans l'air du 4 août 2025 : Trump-Poutine : la menace de la guerre nucléaire

    Émission présentée par Salhia Brakhlia

    Donald Trump menace. Après un échange tendu avec l'ancien président russe Medvedev, le président américain dit avoir positionné deux sous-marins nucléaires face à la Russie : "Les mots sont très importants et peuvent souvent avoir des conséquences inattendues. J’espère que ce ne sera pas le cas", a prévenu le président américain sur son réseau Truth social. La situation se dégrade, alors que les États-Unis ont donné à la Russie un ultimatum de 50 jours, ramené à 10 jours le 29 juillet, pour cesser les hostilités avec l'Ukraine. L'émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, doit aussi se rendre à Moscou dans la semaine pour de nouvelles discussions… voire des sanctions. Une méthode à laquelle Vladimir Poutine ne semble pas adhérer : "Toutes les déceptions naissent d’attentes démesurées", a déclaré le président russe lors d'une rencontre avec son homologue et allié biélorusse Alexandre Loukachenko. Pour l'instant, la Russie frappe tout aussi durement l'Ukraine : selon l'AFP, les forces armées russes n’ont jamais lancé autant de drones contre l’Ukraine qu’en juillet 2025.

    Pendant que la tension monte entre les deux puissances nucléaires, dans le Michigan, les partisans de Donald Trump soutiennent coûte que coûte leur président, malgré ses méthodes de négociation plus ou moins efficaces. Dans cet état ouvrier, où l'industrie automobile fait vivre 1 million de personnes, on soutient un président qui a fait du protectionnisme son mantra, en témoigne les droits de douane imposés à 69 pays dès vendredi. Une équipe de C dans l'air s'est rendu dans le Michigan pour rencontrer les plus fervents soutiens du président et comprendre leur fidélité à Donald Trump.

    Au Moyen-Orient, le forcing du locataire de la Maison Blanche pour aboutir à un cessez-le-feu entre Israël et Gaza s'est soldé par un échec. Alors qu'Israël a repris son offensive sur l'enclave palestinienne depuis mai, le Hamas a diffusé la semaine dernière des vidéos montrant deux otages américains décharnés, dont l'un forcé à creuser sa propre tombe, dans une mise en scène macabre. Choqués, les Israéliens se sont rassemblés par dizaines de milliers à Tel-Aviv ce week-end pour demander le retour des 20 derniers otages présumés vivants. Benjamin Netanyahu a demandé l'intervention du CICR pour fournir de la nourriture aux otages à Gaza, où pèse un grave risque de famine selon l'ONU. Réponse cinglante du Hamas : les otages "mangent ce que nos combattants et tout notre peuple mangent".

    Le risque d'escalade nucléaire entre les Etats-Unis et la Russie est-il réel ? Vladimir Poutine sera-t-il sensible à l'ultimatum lancé par Donald Trump sur l'Ukraine ? Que pensent les électeurs du Midwest des méthodes de leur président ? Et les dernières images d'otages à Gaza ont-elles définitivement enterré l'espoir d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas ?

    LES EXPERTS :
    - Richard WERLY - Correspondant France/Europe - Blick.fr
    - Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace et ancien pilote de chasse

    - James ANDRÉ - Grand reporter - France 24
    - Marie JÉGO - Journaliste - Le Monde

    🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

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    1 h et 7 min
  • Tourisme: les gagnants et les perdants - Vos questions sms -
    Aug 2 2025
    C dans l'air du 2 août 2025 : Tourisme: les gagnants et les perdants

    LES EXPERTS :
    - Jean VIARD - Sociologue, directeur de recherches associé CNRS au CEVIPOF
    - Corinne JOLLY - PDG de PAP - Particulier à Particulier
    - Mathilde VISSEYRIAS - Journaliste - Le Figaro
    - Grégoire MIALET - Président de C-Ways

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    10 min
  • Tourisme: les gagnants et les perdants - L'intégrale -
    Aug 2 2025
    C dans l'air du 2 août 2025 : Tourisme: les gagnants et les perdants

    La Bretagne a la cote. Depuis le début des vacances d’été, les touristes affluent de toutes les régions de France, mais aussi des pays voisins. En 2024, entre avril et septembre, la région a enregistré 21,2 millions de nuitées dans ses établissements touristiques, selon l’Insee. Dix de ses villes figurent même dans le top 100 des destinations préférées des Français, d’après une étude Élabe commandée par ICI, en partenariat avec La Tribune Dimanche.

    Mais derrière ce succès touristique, une autre réalité s’impose : celle du surtourisme. Sur l’île de Bréhat, par exemple, un arrêté municipal limite désormais l’accès à 4 700 visiteurs par jour, entre 8 h 30 et 14 h 30, du lundi au vendredi. Instauré en 2023, le dispositif est reconduit chaque année.
    Dans le sud de la France, de nombreux commerçants déplorent cet été une baisse de la fréquentation estivale. Pourtant, certains sites naturels restent saturés. Pour protéger les calanques de Marseille ou l’île de Porquerolles, des quotas ont également été instaurés. Ces mesures de régulation semblent porter leurs fruits : la satisfaction des visiteurs augmente, tandis que les plaintes des riverains diminuent. Mais leur mise en œuvre reste complexe, surtout dans des zones urbaines ouvertes et emblématiques.

    C’est le cas du quartier de Montmartre, à Paris. Avant même l’arrivée du peloton du Tour de France, les rues du XVIIIᵉ arrondissement débordent de touristes. Le secteur prend parfois des allures de parc à thème. En dix ans, le nombre de meublés touristiques a explosé, au détriment des commerces de proximité. Résultat : les associations d’habitants et de commerçants, excédées, se mobilisent pour alerter les pouvoirs publics.

    Autre phénomène en développement : le "No kids". Restaurants, hôtels, trains… certains établissements n’hésitent plus à réserver leurs espaces aux adultes, au prétexte d’un droit au calme et à la tranquillité. Si la tendance née en Corée du Sud reste encore marginale dans l’Hexagone, elle gagne du terrain dans les esprits. Selon un récent sondage Odoxa, plus d’un Français sur deux (54 %) soutient la création d’espaces sans enfants, un chiffre qui atteint 65 % chez les jeunes adultes.

    Alors où les Français ont-ils décidé de partir en vacances cet été ? Taux de départ, budget, destinations… Quelles sont les tendances ? Comment mieux répartir les flux touristiques entre les régions françaises ? Les quotas de visiteurs dans certains lieux naturels sont-ils une solution juste et efficace ? Le phénomène des espaces "No kids" vous choque-t-il ou vous semble-t-il légitime ?

    LES EXPERTS :
    - Jean VIARD - Sociologue, directeur de recherches associé CNRS au CEVIPOF
    - Corinne JOLLY - PDG de PAP - Particulier à Particulier
    - Mathilde VISSEYRIAS - Journaliste - Le Figaro
    - Grégoire MIALET - Président de C-Ways

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    1 h et 7 min