
Biais de statu-quo et aversion à la perte : le parfait mélange pour l'inaction
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À propos de cette écoute
Pourquoi a-t-on tant de mal à changer, même quand c’est clairement mieux pour nous ? Dans cet épisode, on plonge dans la découverte de deux biais cognitifs bien documentés en Sciences cognitives : le biais de statu quo et l’aversion à la perte. Notre cerveau joue en effet contre nous, nous poussant souvent à rester dans notre zone de confort. Cela a forcément un impact considérable sur nos décisions individuelles et collectives et sur les dynamiques de changement !
“Le biais de statu quo, c’est notre tendance à préférer l’état actuel des choses et à ne pas aimer le changement. Pour l’illustrer en une phrase : je sais ce que je perds, je ne sais pas ce que je gagne. C’est une grande résistance au changement, même lorsque des alternatives meilleures sont disponibles.”
“Un exemple de ce biais : le président sortant est souvent présent au second tour voire réélu. Une des raisons derrière celà, c’est que l’on sait à quoi s’attendre.”
“Notre cerveau est paresseux et reste souvent fidèle à un confort cérébral.”
“L'aversion à la perte est un phénomène profondément ancré dans notre psychologie et même notre neurobiologie, qui correspond à la peur fondamentale de perdre quelque chose, dont l’origine est adaptative.”
Une émission en partenariat avec Cognidia, présentée par Sarah Perez

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