Judith Dexmier, Whoz, accompagne les entreprises sur leur stratégie commerciale et la place de l’IA dans le métier de sales. Dans cet épisode, elle partage un constat clair : l'IA ne remplace pas les commerciaux, mais elle change leur manière de vendre, d'écouter et de structurer leurs échanges.

À retenir dans cet épisode :

• Être bon commercial, c’est écouter et s'adapter, pas réciter des scripts automatisés

• Les soft skills prennent plus de valeur avec l'IA en support

• L'IA génère des contenus, mais pas de la relation humaine

• La préparation et la réflexion restent essentielles, l'IA n'efface pas l'expérience

• L’IA peut améliorer les argumentaires de vente, à condition de bien l'utiliser

• Ce n’est pas l’IA qui vend, c’est la relation vendeur - acheteur

• L’enjeu est d'apprendre à utiliser l'IA sans perdre l'authenticité des échanges

• Le rôle du commercial évolue, il devient plus stratégique

L'IA transforme les ventes, mais elle ne remplace ni l'écoute, ni la relation. Un épisode utile pour comprendre comment rester pertinent dans un métier qui se digitalise.

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Dans cet épisode, je reçois Laura Bokobza, sparring partner de CEOs et autrice de la newsletter « Le comment du pourquoi ». Laura partage sans détour sa vision :

L’IA ne sert à rien si on ne sait pas s’en servir.

Elle insiste sur le risque d’abandonner son esprit critique et de devenir dépendant des outils sans comprendre ce qu’ils produisent.

Nous parlons des usages concrets de l’IA dans le travail, des limites à ne pas franchir, des dangers pour nos relations humaines, et du rôle clé des parents dans l’éducation des enfants au numérique. Laura revient aussi sur la place des femmes dans la tech et les illusions autour de l’inclusion par l’IA.

À retenir dans cet épisode :

• L’IA peut accélérer nos prises de décision, mais pas remplacer le raisonnement

• La facilité technologique peut nous faire perdre des compétences si on délègue tout

• Le vrai risque n’est pas l’IA elle-même, mais notre manière de l’utiliser sans recul

• L’autonomie professionnelle passe par la compréhension des outils, pas par leur rejet

• L’IA ne sait pas tout, surtout quand elle improvise sur des sujets complexes

• Développer son esprit critique est plus important que jamais dans un monde d’IA

• L’IA transforme la manière dont on apprend, mais pas la nécessité d’apprendre

• Les soft skills prennent de la valeur à mesure que les tâches techniques s’automatisent

• La meilleure façon de rester pertinent, c’est de cultiver son jugement

• L’innovation doit être accompagnée d’une vraie réflexion sur les usages

Un épisode qui invite à prendre du recul sur nos pratiques, à comprendre l’impact réel de l’IA, et à ne jamais oublier que notre capacité à raisonner… ne se délègue pas.

👉 Écoutez cet épisode pour un décryptage sans bullshit et direct sur l’IA et nos responsabilités.

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Yamina Hakem est experte en business intelligence appliquée à la pharma, fondatrice de GlobalReach BI, et elle accompagne les industriels de santé dans la structuration de leurs données. Elle connaît les promesses de l’IA… et les angles morts. Dans cet épisode, on parle essais cliniques, prédiction des maladies, biais algorithmiques et compétences humaines.

À retenir dans cet épisode :

- L’IA transforme les essais cliniques en modélisant les profils de patients

- Les biais dans les données d’entraînement peuvent fausser les résultats

- L’IA n’est pas autonome : elle exécute des consignes humaines

- La data de santé est souvent mal structurée et sous-exploitée

- L’adoption de l’IA nécessite des compétences hybrides (data + métier)

- Il faut des référentiels éthiques clairs pour encadrer l’innovation

- La transparence des modèles est une condition de confiance

- Les jeunes talents ont un rôle à jouer dans la régulation

- L’IA interroge la responsabilité des acteurs : qui décide, qui valide ?

- L’intelligence artificielle est un outil, pas une stratégie

Un épisode qui remet les pieds sur terre : oui, l’IA a un potentiel énorme dans la santé. Mais il faut des garde-fous, du bon sens, et une exigence collective pour ne pas soigner… à l’aveugle.

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