Couverture de 45 ambassadeurs loirétains

45 ambassadeurs loirétains

45 ambassadeurs loirétains

De : Département Loiret - Édith Combe
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À propos de cette écoute

Le Département du Loiret a décidé de rassembler en deux ouvrages les portraits d'ambassadeurs loirétains qui, par leurs actions, font connaître le territoire. En tout, 90 portraits, 2 x 45. Quelle est l'origine de ce projet ? Célébrer le gentilé loirétain/loirétaine choisit, il y a onze ans maintenant, par la population et aujourd’hui largement adopté et utilisé par tous.Sportifs de haut niveau, artistes (chanteurs, peintre, cinéaste, actrices, sculptrice…), boulanger, galeriste, entrepreneurs, chefs, influenceurs, écrivain, compositeurs, agriculteurs, chef d’orchestre, animatrice d’émissions… tous sont Loirétains d’origine ou d’adoption. Leur point commun ? Un destin hors du commun, justement, acquis à force de compétences, détermination et travail grâce auquel ils rayonnent dans et hors du département… et parfois même jusqu’aux États-Unis. On vous dévoile ici quelques portraits réalisés sous forme de podcasts. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.Département Loiret Politique et gouvernement
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Bonne écoute !
    Épisodes
    • Brice Daubord, au pas de course
      Sep 20 2024

      Lors des compétitions de triathlon, avec la section sportive régionale, le pôle espoir ou encore le pôle France, Brice a foulé les sols espagnols, danois, suisses, roumains, bulgares, néerlandais, turcs, tahitiens et français. « Le triathlon a été une vraie passion ! »

      De 2004 à 2021, Brice est professionnel à 90 % de son temps. À 38 ans, désormais coureur à pied sur son temps libre, il se concentre sur le marathon, discipline pour laquelle il continue à se perfectionner, complétant parfois son entraînement en Corse, « un terrain plus dur ». Peut-être l’avez-vous croisé courant jusqu’à l’île Charlemagne ? Sa préparation sérieuse et intensive (cinq à six joggings hebdomadaires et entraînements à la salle de sport deux fois par semaine) l’a conduit à remporter, en 2023, le marathon de San Francisco : « Pourtant, les conditions étaient difficiles : la course débutait à cinq heures du matin, ce n’est pas mon heure, mais le parcours était magnifique ! J’aime allier une course et un voyage. »
      Son record, c’est 2 h 17 à Valence ! Il compte améliorer son temps d’une minute sur de prochaines compétitions. « C’est avec la course à pied que j’éprouve le plus de plaisir et c’est le sport le plus facile à mettre en œuvre. »

      L’athlète, qui reste de très haut niveau, a trouvé un équilibre entre sa pratique sportive et son emploi chez Orpi pour lequel il se déplace dans le Loiret, à Beaugency, Olivet et Orléans. « Je suis attaché à notre territoire où j’ai fait beaucoup de sport. »


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      15 min
    • Fabrice Moireau, au détail près
      Aug 26 2024

      Ce Mérois d’origine prépare le concours de l’école d’art parisienne, Olivier de Serres, durant son année de terminale, option arts plastiques, au lycée Pothier. Il reproduit inlassablement les plâtres relégués dans une réserve par son professeur de dessin, ancien soixante-huitard qui lui en a confié les clés. Concours réussi avec brio puisqu’il décroche un 19/20 en dessin d’observation !

      Autre coup de maître : en fin de scolarité, il passe son examen de standiste/scénographe devant un des professeurs et des professionnels dont l’un lui offre un emploi.
      Et pendant trois ans, il apprend le métier. C’est la première mais pas la dernière fois qu’une rencontre façonne sa carrière. En parallèle, Fabrice, lors de ses pérégrinations, aquarelle des carnets de voyages. Puis, Jean-Paul Pigeat*, à l’origine du Festival des jardins de Chaumont-sur-Loire, lui propose de réaliser les premiers catalogues sur le même modèle.

      L’agence de publicité de Vuitton, séduite par le format carnet de voyage sur Chaumont, lui en commande un sur Paris. Puis, les éditions du Pacifique l’approchent et l’auteur-maison crée une collection de 25 livres d’art sur des villes (New York, Lisbonne, Venise…) et des régions (l’Orléanais, la Vallée de la Loire, la Provence…), ainsi que d’autres publications… en tout : 37 ouvrages.

      C’est la lumière, le cadrage et la précision qui intéressent ce contemplatif. Il réalise ses œuvres, quelque 8 500 aujourd’hui, in situ, assis, des heures durant, sur un pliant de pêcheur. Et, il expose environ une fois par an. Chapeau, l’artiste !


      *Journaliste, auteur, commissaire d’expositions, notamment au Centre Pompidou, conseiller pour les jardins de Jack Lang


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      16 min
    • Tristan Robreau, une autre façon de vivre la cuisine
      Aug 2 2024

      Ce chef est arrivé au Lièvre gourmand*, avec Émilie, son épouse, en 2012. Ils ont repris le restaurant orléanais en 2014. « Il fallait le temps de faire ses preuves. »

      Tristan a roulé sa bosse : « Avec Émilie, nous nous sommes rencontrés à l’école hôtelièreà Blois. Puis, nous sommes partis dans le Sud et en Savoie avant d’aller perfectionner notre anglais en Australie. Ensuite, nous avons voyagé et découvert la diversité des saveurs de la cuisine asiatique. » Le déclic vient de là : Tristan propose une cuisine fusion d’inspiration asiatique. « L’idée est de servir des saveurs inconnues aux clients. Pour préparer un nouveau plat, d’abord, on teste : le plus important, c’est l’équilibre de saveurs car on doit retrouver le goûtdu produit de base. Il faut affiner les curseurs… Ça peut durer jusqu’à trois semaines. Toute l’équipe en cuisine participe. Et Émilie intervient aussi en milieu de construction et apporte le bon élément, le petit grain de folie. »

      Et l’étoile Michelin ? « Elle est remise en jeu tous les jours. Je dois proposer une belle qualité toute l’année. Je le fais pour mes clients d’abord. » Clients à qui il a imposé un service synchronisé : tous sont accueillis pour un moment de détente, à la même heure, au salon, les commandes sont prises et ils passent à table quand tout est prêt. « C’est un vrai cérémonial, comme quand vous allez au théâtre. »

      « Nous sommes arrivés par hasard à Orléans et pour rien au monde je ne changerai : c’est une ville dynamique en constante évolution. Et voir la Loire tous les matins, c’est très agréable ! »


      *Seul restaurant étoilé de la Métropole orléanaise, sur les quatre que compte le Loiret



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      20 min
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