#158 Yoa, chanteuse : « Sur dix ans de castings, je n’ai eu que des rôles pour des filles qui s’appelaient Lila ou Leïla, des filles qui viennent de banlieue et veulent se réapproprier leur corps par leur sexualité »
Impossible d'ajouter des articles
Désolé, nous ne sommes pas en mesure d'ajouter l'article car votre panier est déjà plein.
Veuillez réessayer plus tard
Veuillez réessayer plus tard
Échec de l’élimination de la liste d'envies.
Veuillez réessayer plus tard
Impossible de suivre le podcast
Impossible de ne plus suivre le podcast
-
Lu par :
-
De :
À propos de ce contenu audio
Elle nous reçoit dans son appartement, où elle vient d’emménager, une « petite grotte un peu chaleureuse » aux confins du 5e arrondissement de Paris. Un deux-pièces où cohabitent un grand canapé en velours blanc et un fauteuil livré sans notice de montage, des lampes Ikea et ses références culturelles : l’album How I’m Feeling Now de Charli XCX, un recueil de poèmes d’Arthur Teboul (vocaliste et parolier du groupe Feu ! Chatterton), Clôture de l’amour, de Pascal Rambert – un « livre de chevet » –, et « Guillaume Dustan, qui est là, dans [s]a chambre ».
Dans cet épisode du « Goût de M », Yoa parle de son père, suisse, et de sa mère, camerounaise, qui l’ont fait grandir à Paris au milieu de films, de livres et de musique. A 26 ans, elle mêle allègrement références pop (« Lana del Rey, oh mon Dieu ! »), littérature féministe (Virginie Despentes, bell hooks, Valerie Solanas) et philosophie (Georges Bataille). Elle s’est d’ailleurs imaginée philosophe, puis actrice de théâtre, avant que ses chansons postées sur les réseaux sociaux ne soient repérées par des professionnels de la musique. Elle achève sa tournée cet été et participera à de nombreux festivals.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous êtes membre Amazon Prime ?
Bénéficiez automatiquement de 2 livres audio offerts.Bonne écoute !
Aucun commentaire pour le moment