Gratuit avec l’offre d'essai
-
Mémoires improvisés 1951-1952
- Lu par : Paul Claudel, Jean Amrouche
- Durée : 12 h et 33 min
Veuillez réessayer plus tard
Veuillez réessayer plus tard
Échec de l’élimination de la liste d'envies.
Veuillez réessayer plus tard
Impossible de suivre le podcast
Impossible de ne plus suivre le podcast
Écoutez en illimité un large choix de livres audio, créations & podcasts Audible Original et histoires pour enfants.
Recevez 1 crédit audio par mois à échanger contre le titre de votre choix - ce titre vous appartient.
Gratuit avec l'offre d'essai, ensuite 9,95 €/mois. Résiliez à tout moment.
Acheter pour 47,90 €
Aucun moyen de paiement n'est renseigné par défaut.
Désolés ! Le mode de paiement sélectionné n'est pas autorisé pour cette vente.
Utiliser la carte qui se termine par
En finalisant votre achat, vous acceptez les Conditions d'Utilisation. Veuillez prendre connaissance de notre Politique de Confidentialité et de notre Politique sur la Publicité et les Cookies.

Vous êtes membre Amazon Prime ?
Bénéficiez automatiquement de 2 livres audio offerts.Bonne écoute !
Description
Réalisés en 1951, ces entretiens de Paul Claudel avec Jean Amrouche sont précieux. Car, mieux qu'un livre, ils sont la vie même. Claudel revoit toute sa destinée : son enfance, sa famille, sa sœur Camille au génie si déroutant, son éducation imprégnée du "matérialisme du scientisme de l'époque", la révélation de la Foi chrétienne, un soir de Noël 1886 à Notre Dame... C'est non seulement un destin qui se déroule sous nos yeux, mais c'est aussi une pensée active, toujours en éveil - jusqu'aux "dernières caravanes" - un esprit scrutateur qui s'interroge lui-même aussi bien qu'il interroge le monde.
Dans ces entretiens, Claudel revient sur sa carrière diplomatique, mais surtout sur la lente gestation de son œuvre dans laquelle le romanesque ne tient aucune place. Une voix ample, riche de son âge, une voix heureuse de la certitude de pouvoir faire entendre son message, presque assimilé à une mission suprême... Une voix bien décidée à ne pas se taire jusqu'à son dernier souffle.
Dans ces entretiens, Claudel revient sur sa carrière diplomatique, mais surtout sur la lente gestation de son œuvre dans laquelle le romanesque ne tient aucune place. Une voix ample, riche de son âge, une voix heureuse de la certitude de pouvoir faire entendre son message, presque assimilé à une mission suprême... Une voix bien décidée à ne pas se taire jusqu'à son dernier souffle.
L'intervenant
D'origine Kabyle (Algérie), Jean Amrouche (1906-1962) étudie à l'Ecole Normale de Saint-Cloud puis exerce en tant que professeur de Lettres aux lycées de Sousse et de Bône en Tunisie, où sa famille, convertie au christianisme, s'était installée. Fin lettré, il se découvre un talent de poète. Sa traduction des Chants Berbères de Kabylie le font entrer de plein pied dans le monde des Lettres de l'avant guerre. Il se lie avec Armand Guibert, rencontre Gide... et dès lors sa carrière prend un élan fulgurant. Il s'oriente alors vers la radio (Tunis, Alger, Paris, puis à Genève en Suisse) où il sait créer un nouveau style "d'entretiens" qu'il affine au fil du temps auprès d'invités prestigieux du monde des Arts et des Lettres. En parallèle, il est aussi directeur de la revue "l'Arche" - éditée par Edmond Charlot. Sans doute ces dernières fonctions lui permettent-elles de concevoir ses rencontres radiophoniques comme de véritables oeuvres littéraires où la dimension de la voix - ses intonations, ses incertitudes, ses fulgurances - en dit autant que les propos eux-mêmes... Il sait traquer aussi bien les silences éloquents que les hésitations qui, lentement, inexorablement presque, conduisent à une réflexion insoupçonnée, à l'aveu parfois, à l'intense toujours...
D'origine Kabyle (Algérie), Jean Amrouche (1906-1962) étudie à l'Ecole Normale de Saint-Cloud puis exerce en tant que professeur de Lettres aux lycées de Sousse et de Bône en Tunisie, où sa famille, convertie au christianisme, s'était installée. Fin lettré, il se découvre un talent de poète. Sa traduction des Chants Berbères de Kabylie le font entrer de plein pied dans le monde des Lettres de l'avant guerre. Il se lie avec Armand Guibert, rencontre Gide... et dès lors sa carrière prend un élan fulgurant. Il s'oriente alors vers la radio (Tunis, Alger, Paris, puis à Genève en Suisse) où il sait créer un nouveau style "d'entretiens" qu'il affine au fil du temps auprès d'invités prestigieux du monde des Arts et des Lettres. En parallèle, il est aussi directeur de la revue "l'Arche" - éditée par Edmond Charlot. Sans doute ces dernières fonctions lui permettent-elles de concevoir ses rencontres radiophoniques comme de véritables oeuvres littéraires où la dimension de la voix - ses intonations, ses incertitudes, ses fulgurances - en dit autant que les propos eux-mêmes... Il sait traquer aussi bien les silences éloquents que les hésitations qui, lentement, inexorablement presque, conduisent à une réflexion insoupçonnée, à l'aveu parfois, à l'intense toujours...
(p) 1951 - 1952 RTF
© 2009 Frémeaux & Associés / Groupe Frémeaux Colombini SAS
© 2009 Frémeaux & Associés / Groupe Frémeaux Colombini SAS
Autres livres audio du même :
Narrateur
Ce que les auditeurs disent de Mémoires improvisés 1951-1952
Moyenne des évaluations utilisateurs. Seuls les utilisateurs ayant écouté le titre peuvent laisser une évaluation.Global
Interprétation
Histoire
Commentaires - Veuillez sélectionner les onglets ci-dessous pour changer la provenance des commentaires.
Il n'y a pas encore de critique disponible pour ce titre.