Gratuit avec l’offre d'essai
-
Les morts du Karst
- Commissario Laurenti 1
- Lu par : Alain Granier
- Durée : 11 h et 12 min
Échec de l’élimination de la liste d'envies.
Impossible de suivre le podcast
Impossible de ne plus suivre le podcast
Acheter pour 19,95 €
Aucun moyen de paiement n'est renseigné par défaut.
Désolés ! Le mode de paiement sélectionné n'est pas autorisé pour cette vente.

Vous êtes membre Amazon Prime ?
Bénéficiez automatiquement de 2 livres audio offerts.Bonne écoute !
Description
C'est alors qu'une maison vole en éclats, et qu'un crime affreux est découvert sur le Karst. Y aurait-il un rapport avec ces contrebandiers qui échangent leur marchandise la nuit en pleine mer ? De vieux comptes de l'après-guerre ressurgiraient-ils pour se régler dans le sang ? Une affaire délicate. Le commissaire, cet homme du Sud, a bien du mal à y voir clair dans le cocktail explosif de Slovènes, Croates et Italiens, de néo-fascistes zélés et de communistes de la première heure.
Autres livres audio du même :
Auteur
Narrateur
Ce que les auditeurs disent de Les morts du Karst
Moyenne des évaluations utilisateurs. Seuls les utilisateurs ayant écouté le titre peuvent laisser une évaluation.Commentaires - Veuillez sélectionner les onglets ci-dessous pour changer la provenance des commentaires.
-
Global
-
Interprétation
-
Histoire
- Pierre Gauthier
- 06/10/2018
Déprimant!
Pour ceux qui s’intéressent à la ville de Trieste, pour des raisons touristiques ou autres, la qualité principale de ce roman est de résolument s’y dérouler. En fait, on peut s’interroger si les véritables résidents fréquentent autant que les personnages du livre la Pescheria, la piazza Venezia, les Rive ou la cathédrale San Giusto. Chose certaine, au-delà de la localisation exceptionnelle sur l’Adriatique et du milieu bâti, l’œuvre fait aussi ressortir les différents groupes nationaux de la région et les tensions qui les ont marqués, particulièrement au 20e siècle.
Malheureusement, la trame du roman est noire et triste et aucun personnage n’est attachant pour le lecteur. Dès le milieu, on ressent donc une lassitude certaine et une grande hâte d’aboutir.
Dans la version audio, le phénomène est exacerbé par la narration, qui est exagérément dramatisée.
Globalement, il apparaît donc recommandable de consacrer son temps à d’autres œuvres que celle-ci.