
Le tour du monde du roi Zibeline
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À propos de cette écoute
- Nous ne demandons qu'à vous l'expliquer, dit Auguste. Et d'ailleurs nous avons traversé l'Atlantique pour cela.
- Eh bien, allez-y.
- C'est que c'est une longue histoire.
- Une très longue histoire, renchérit Aphanasie, sa jeune épouse que Franklin ne quittait plus des yeux.
- Elle traverse de nombreux pays, elle met en scène des drames et des passions violentes, elle se déroule chez des peuples lointains dont les cultures et les langues sont différentes de tout ce que l'on connaît en Europe...
- Qu'à cela ne tienne ! Au contraire, vous mettez mon intérêt à son comble..."
Comment un jeune noble né en Europe centrale, contemporain de Voltaire et de Casanova, va se retrouver en Sibérie puis en Chine, pour devenir finalement roi de Madagascar... Sous la plume de Jean-Christophe Rufin, cette histoire authentique prend l'ampleur et le charme d'un conte oriental, comme le XVIIIe siècle les aimait tant.©2017 Éditions Gallimard (P)2017 Éditions Gallimard

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Beau récit mais lecture décevante
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Roi Zibeline, quel joli nom
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Très divertissant
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Enchanteur
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À partir d'une histoire vraie
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Très bon récit, interprétation inégale
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quand on en a lu un on en a lu 10
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Un bon récit d'aventure
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Une histoire vraie
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Il est apparemment inspiré des mémoires, aucunement vérifiés et carrément non plausibles dans leurs détails rocambolesques, d’un aventurier du 18e siècle, Auguste Benjowsky, né dans l’empire hongrois de l’époque et se proclamant notamment défenseur des droits de la Pologne.
La structure de l’œuvre est lourde et bancale : d’abord une introduction par un narrateur omniscient qui explique l’arrivée d’Auguste et de son épouse chez Benjamin Franklin à Philadelphie; ensuite le récit à la première personne qu’ils font à leur hôte, en alternant de l’un à l’autre, d’un chapitre au suivant; enfin, un épilogue par le narrateur omniscient racontant les derniers jours d’Auguste (auxquels son épouse n’a pas assisté). Il en découle que le roman ne comprend aucun dialogue dans sa portion essentielle. Les personnages principaux ont bien peu de relief, présentant bien sûr systématiquement le côté des choses qui les avantage. Pour leur part, les personnages secondaires apparaissent selon les besoins de l’intrigue et disparaissent aussitôt sans être développés. Parfois, des événements sont comprimés indûment en une seule phrase, du genre « nous connûmes plusieurs tempêtes en mer et survécûmes ». Pourquoi en parler du tout?
En vrac, soulignons quelques incongruités irritantes :
• le titre du roman est trompeur puisque le personnage principal ne fait pas le tour du monde, ne traversant jamais ni l’océan Pacifique ni le continent américain; de plus, il n’est pas roi mais plutôt un ersatz d’empereur de Madagascar en qui les potentats locaux croient reconnaître le fils d’un suzerain passé;
• sans doute pour faire moderne et peut-être pour plaire à un public féminin contemporain, l’épouse d’Auguste est décrite comme faisant preuve de velléités féministes, qui sont non seulement anachroniques mais peu cohérentes avec la mièvrerie dont elle témoigne avant sa rencontre avec Auguste;
• la narration à Franklin par les deux personnages principaux est décrite comme se poursuivant pendant plusieurs jours, du matin au soir; pourtant l’audio livre qui reprend l’ensemble de l’œuvre ne dure que 9 heures et 5 minutes;
• le texte ne précise pas si le tout est raconté en français, que parlait Benjamin Franklin; ainsi, sa fille, son médecin et ses serviteurs parleraient couramment français? ; autrement, tout le récit serait une traduction de l’anglais?
• Thomas Jefferson, qui apparaît dans le roman sans y jouer un rôle significatif, est décrit comme le champion des droits des peuples africains; chacun sait qu’il était en fait un esclavagiste impénitent, qui n’a même pas affranchi dans son testament les enfants qu’il a engendrés à des esclaves;
• dans la version audio, ni Auguste ni son épouse ne présentent la moindre trace d’accent étranger alors que le roman revient plusieurs fois sur la manière charmante et exotique dont ils manient notre langue.
Cette œuvre navrante ne saurait être recommandée à quiconque.
Quelle salade!
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