Déni de la guerre, ou guerre du déni ?
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A partir d'un article de la revue AOC du 4 juin 2025
Titre de l’Article : Le refus de la guerre n’est pas un déni de guerre
par Déborah Brosteaux
Résumé
Le déni fait partie des logiques guerrières. De nombreux discours affirment pourtant que le déni est aujourd’hui du côté de celles et ceux qui s’opposent aux politiques de réarmement européen : être pacifiste, antimilitariste ou anti-guerre, ce serait nécessairement se rendre coupable d’une passivité complice. Pour être capables de résister aux logiques du déni, c’est au contraire de perspectives anti-guerre conséquentes que nous avons besoin.
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