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J'ai toujours cru que j'écrivais sur les hommes. Avant de m'apercevoir que je n'écris que sur les femmes. Sur le fait d'en être une. Écrire sur les putes, qui sont payées pour être des femmes, qui sont vraiment des femmes, qui ne sont que ça ; écrire sur la nudité absolue de cette condition, c'est comme examiner mon sexe sous un microscope. Et j'en éprouve la même fascination qu'un laborantin regardant des cellules essentielles à toute forme de vie.

"Cette grande joie sombre du désir qui rapproche les hommes et les femmes, ça me passionne, ça me réjouit, ça m'émeut au plus profond de moi-même. C'est ce désir pulsion de vie que j'aime et que j'ai envie de raconter dans mes livres". E. B. Peut-on rester femme en devenant mère ? Peut-on rester soi dans le désir des hommes ? Avec humour et mordant, Emma Becker confirme son talent littéraire.

Odile et moi, petites filles, courons dans le maquis qui entoure sa maison, elle habite à l'époque dans cette même grande villa à Cavalaire. Nous disparaissons des heures à la recherche d'un semblant de grotte planquée derrière un buisson de lentisque, une lampe torche à la main, et c'est là, pour la première fois, que nous inventons ce jeu qui nous tiendra en haleine jusqu'à la fin de notre adolescence - le petit copain et la petite copine.

Pendant combien de temps peut-on supporter deux amours inconditionnelles ? Pendant combien de temps une femme peut-elle vivre écartelée entre une passion amoureuse et un amour absolu pour ses enfants ? Dans ce nouveau roman, Emma Becker regarde en face et dévoile sans complaisance les moments les plus dangereux, les plus intenses et les plus beaux d'une vie. Elle ausculte ici le mal joli, cette traversée des plaisirs incandescents et des peines inavouables qui scandent un amour interdit.

„Du hast doch nicht wirklich geglaubt, dass du ein Happy End bekommst, oder?“ Cian macht mir Angst. Der irische Killer hat mich an meinem Hochzeitstag entführt. Und jetzt lüftet er Geheimnisse, die drohen, alles und jeden, den ich liebe, zu Asche zerfallen zu lassen.

„Was soll das heißen, Sie haben mir das falsche Sperma gegeben?!“ Der Arzt versichert mir, dass er keine Scherze macht. Anstatt die Leihmutter meiner Schwester zu sein … … trage ich das Baby meines Chefs aus. Vor einigen Monaten erklärte ich mich bereit, die Leihmutterschaft für meine Schwester zu übernehmen. Dann starb sie bei einem mysteriösen Unfall. Ich schwor, ihr Kind zu behalten und es aufzuziehen.