
Salammbô
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Lu par :
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Éric Herson-Macarel
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De :
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Gustave Flaubert
À propos de cette écoute
Salammbô, est avant tout plein de couleurs, d'odeurs et de sentiments. C'est une folle mêlée, une tourmente qui vous aspire, vous emporte, vous repose pour mieux vous enlever vers d'autres sommets, d'autres surprenantes péripéties, d'autres combats. Victime de sa condition, de sa jeunesse, de ses sens et de son innocence, Salammbô est sans doute le roman le plus fort et le plus terrible d'une passion candide victime des plus infâmes machinations. Un pur chef-d'œuvre !©Domaine public (P)2011 Sixtrid SAS

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Souhaiteriez-vous essayer un autre livre de Gustave Flaubert ou lu par Éric Herson-Macarel ?
Sans doute, mais munissez-vous d'un dictionnaireSi vous avez pu écouter auparavant des livres de Gustave Flaubert, quelle comparaison pouvez-vous faire avec celui-ci ?
NonVoudriez-vous écouter un autre livre audio lu par Éric Herson-Macarel ?
Sans doute, mais dans "Salombo" on fini par se lasser de cette voixAvez-vous d'autres commentaires ?
C'est un livre dont j'avais lu des extrais dans ma jeunesse et qui m'avais impressionné, les histoires de l'oncle Sam dans TinTin avaient fini par nourrir le rêve, mais l'écoute du livre, même si au début à ravi mes oreilles a fini à la longue à les ennuyéesUne écriture grandilocotante qui fatigue à la fin
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une écoute qui prend aux tripes
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Formidable épopée romanesque et lyrique. La lecture est sobre et sensible; vécue même. Flaubert est un génie!
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Guerre, torture, tout le livre.
J'ai tout écouté pour la voix d'Eric Herson Macarel et parce que je pensais qu'une fois les personnages et situations décritent l'histoire allait commencer.
trop trop violent pour moi
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Pas mal
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Cela reste cependant du Flaubert, il faut aimer. L'ensemble est (évidemment) remarquablement écrit, et il serait difficile d'isoler un passage qu'on pourrait considérer comme "mauvais".
Cependant, avec mon regard de lectrice du XXIe siècle, il reste difficile d'écouter ce livre sans ressentir un certain malaise face au racisme colonial qui l'entoure, le soutient, le construit. On passe sans cesse de la fétichisation des corps racisés, surtout féminins, qui sont "exotisés" (orientalisme oblige) au mépris de ces mêmes corps racisés, en particulier des corps noirs, quasiment toujours associés (au contraire des grecs et des Carthaginois, ou même des Gaulois) à la crasse, l'idiotie, l'absence de culture, de civilisation, et, tout simplement, à la laideur. Même en replaçant le livre dans son contexte, cela reste une gageure de l'écouter sans avoir le poil qui se hérisse bien souvent.
Si je l'avais lu en papier, je n'aurais peut-être pas fini ce roman, mais la lecture magistrale d'Éric Herson-Macarel (ainsi que le fait que je n'ai rien de mieux à faire quand je conduis plusieurs heures d'affilée) ont fait que je l'ai écouté en entier, et que, globalement, j'ai trouvé cette expérience littéraire des plus agréables, et je suis contente d'avoir comblé cette faille dans ma culture !
Performance excellence...mais ça reste du Flaubert
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Remarquable !
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caressé par une brise tiède septentrionale, ce jeune sycomore dont les feuilles aux palmes de lobes jaunies par la rudesse de l’astre à son faîte, est souillé à la base de son tronc tortueux, d’une urine ambre et chaude qu’un vieil épagneul borgne peine à sécréter au delà de ses frêles pattes décharnées...
Lorsque un vieux clébard pisse contre un arbre...
Si cela vous êtes ok avec ça, plongez
Si la richesse des descriptions frôle parfois l’indigestion, la dantesque dernière partie de ce roman est sublime de démesure et vaux à elle seule les légers reflux gastriques causés cette exhaustivité digne d’un catalogue naturaliste.
Splendeur et démesure
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Excellente prise et lecture
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Orientalisme decevant
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