Journal de guerre
C'est l'Occident qu'on assassine
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Journal de guerre
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Lu par :
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Frédéric Kneip
À propos de ce contenu audio
Samedi 7 octobre 2023, 6 h 30
Il ne s’agit ni d’un journal intime ni d’un journal officiel. Mais d’un journal de guerre.
Guerre contre le désarroi personnel né un 7 octobre au réveil.
Guerre contre la détestation des Juifs et de leur État.
Guerre au jour le jour contre la nuit qui vient.
Guerre contre la désinformation médiatique pour causes idéologiques, à commencer par celle de l’audiovisuel public. Cette idéologie anti-occidentale du double standard, cette préférence pour l’Autre, qui traite différemment l’immigré et le Français, le Palestinien et l’Israélien.
Guerre contre une extrême gauche ayant sombré dans l’antisémitisme après son alliance avec l’islamisme.
Guerre contre la folie qui s’est emparée de l’Occident en perdition à cause de la disgrâce d’un wokisme détestant les Français, en tant que Blancs.
Une guerre totale. Argumentée, documentée, avec les armes de l’ironie mortelle et de l’humour létal.
Une guerre sans concessions menée par un avocat qui, parce qu’il aime tant la vie, a condamné cette haine qui nous menace à la peine de mort.
Gilles-William Goldnadel est avocat, essayiste, contributeur et intervenant dans de nombreux médias.
©2024 Editions Fayard (P)2024 Sonobook
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Impolitiquement correct et donc vivifiant.
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J’adore
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la vérité humaniste de Gilles William Goldnadel
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je suis un de ces français non juif qui soutiennent Israël plus encore qu avant le 7 oct. partageant ses opinions honnêtes je m attarderai plus sur la forme et le talent d écrivain... si le sujet n était aussi terrible je dirais que j ai pris un pied littéraire , il a parfois des accents tragiques de FRÉDÉRIC DARD l ironie piquante de Moliere mais surtout ce désespoir digne et combattif que j ai trouvé ds les témoignages des survivants , surtout dans le choix lapidaire des mots, ceux de qui vit en urgence au long cours de tout dire, la même qui animait ceux qui sont revenus avec leur douloureuse nécessité de révéler l horreur , comme comme si le couperet de l arbitraire nazi pesaient encore sur leur nuque.
j ai aimé, aussi parce que par la voix d un bon lecteur j ai entendu et reconnu l' homme GOLDNADEL que j avais cru déceler.
conforme et jouissif
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