Épisode 20 : Les Souvenirs

Les souvenirs sont ces fragments précieux de notre passé qui, d’une certaine manière, ont contribué à forger la personne que nous sommes aujourd’hui. Mais quelle place accorder à ces souvenirs?

Bienvenue dans cet épisode 20 du Podcast Minimaliste. Je réalise que cette troisième saison est imprégnée de ce que je vis actuellement, tant dans ma vie professionnelle que personnelle.

Depuis un peu plus de deux semaines, je me trouve en Suisse, dans mon village natal, où j’ai passé les 23 premières années de ma vie. Cela fait sept ans depuis ma dernière visite, et je réalise à quel point j’ai changé et évolué depuis.

Ce retour aux sources m’angoissait un peu. Oui, les paysages de montagnes sont magnifiques, mais les mentalités d’un petit village peuvent être aussi étroites que ses vallées. J’avais peur de replonger dans un passé que j’avais laissé derrière moi et d’être confrontée à une version de moi-même dont je ne suis plus fière.

Les premiers jours ont été marqués par une dualité entre le souvenir des moments difficiles – conflits, jalousies, sentiment de rejet – et la redécouverte de lieux familiers. Puis, un jour, j’ai aidé ma mère à nettoyer le grenier, ce lieu rempli de souvenirs d’enfance poussiéreux et oubliés.

Parmi les objets retrouvés, il y avait :

• Mes vieux carnets journaliers, qui m’ont rappelé la bonne élève studieuse mais mauvaise en mathématiques que j’étais.

• Mon cheval Barbie, symbole d’une vieille dispute parce qu’il n’était pas celui que je voulais.

• Un vieux hibou musical en peluche, accroché au-dessus de mon lit d’enfant, me confirmant pourquoi cet animal est devenu mon animal totem.

• Des travaux scolaires, des jeux de famille, des livres d’enfance…

• Et, le plus insolite, mon ancien appareil orthodontique, cet engin de torture qui a marqué mon adolescence!

Ces objets n’étaient que des témoins de souvenirs déformés, souvent décevants. Ce que j’ai compris, c’est que les objets n’ont pas vraiment le pouvoir de faire revivre nos souvenirs. Ils sont souvent une pâle image de ce que nous avons vécu.

La vraie richesse des souvenirs réside dans leur nature intangible : ce sont des sensations, des émotions, des moments figés dans le temps. Depuis mon arrivée ici, j’ai revisité nombre de souvenirs en vivant de nouvelles expériences. Une randonnée sur le sentier de mon enfance, une promenade avec mes parents où j’ai retrouvé les odeurs familières de la fabrication du fromage traditionnel au feu de bois… Autant de moments enfouis dans ma mémoire qui ont refait surface sans crier gare.

Ces souvenirs sont revenus, non pas par les objets, mais par les expériences et les émotions vécues. Ils m’ont aidée à faire la paix avec ce passé que j’avais jugé si durement et à me souvenir des belles choses, des privilèges de mon enfance dans ces montagnes.

Ce que je veux partager avec vous aujourd’hui, c’est que nous n’avons pas besoin de nous accrocher aux objets pour nous souvenir. Notre âme sait exactement de quoi nous avons besoin et quand ces souvenirs doivent ressurgir. Ce qui compte, c’est de vivre pleinement chaque jour, de créer de nouveaux souvenirs en s’immergeant en pleine conscience, dans les moments, les odeurs, les goûts, les sons, les sourires, les partages,…

Libérons-nous de la peur d’oublier et faisons confiance à notre esprit pour nous rappeler ce qui est essentiel.

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Épisode 19 - L'encombrement est-il une question de génération ?

En visitant mes parents récemment, je me suis interrogée sur l’encombrement et s’il s’agissait d’un problème générationnel. En entrant dans la maison où j’ai grandi, j’ai été frappée par la manière dont tout semblait figé dans le temps. La maison, où mes parents vivent depuis 37 ans, est restée quasiment inchangée. Les objets et meubles sont toujours à leur place, certains espaces se sont même remplis davantage au fil des ans.

Trois constats m’ont particulièrement marquée :

1. Le vieillissement de mes parents, bien que leur routine immuable semble les rassurer.

2. Le fait que rien n’a changé dans la maison, créant une sensation de retour dans le passé.

3. Les espaces autrefois vides se sont lentement mais sûrement encombrés.

En discutant avec mes parents, j’ai réalisé que leur accumulation d’objets était liée à leur génération, marquée par le manque et la nécessité de conserver chaque bien. Ce contexte m’a rappelé mes propres souvenirs d’enfance, où même si nous ne manquions de rien, l’idée de posséder des objets avait une grande valeur.

Cette prise de conscience a engendré en moi une certaine peur, celle de devoir gérer cet encombrement à la place de mes parents s’il n’était pas résolu de leur vivant. J’ai décidé d’aborder le sujet avec eux en douceur, comme je le fais avec mes clients. Nous avons convenu d’avancer ensemble, à leur rythme, pour désencombrer leur maison.

En conclusion, je pense que l’encombrement est en partie une question de génération. Les générations passées ont plus de mal à se séparer de leurs biens, attachées à leur valeur et à leur durabilité. Si vous vous reconnaissez dans cette situation, je vous encourage à en discuter avec vos parents. Cela peut devenir un projet familial enrichissant.

Merci d’avoir suivi cet épisode ! N’oubliez pas de vous abonner au podcast pour ne rien manquer.

À très bientôt ! Bye là :-)

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🎙️ Nouveau Podcast : Saison 3, Épisode 1 – Le Piège du Perfectionnisme 🎙️

Bonjour à toutes et à tous,

Je suis ravie de vous retrouver pour ce tout premier épisode de la saison 3 de notre podcast minimaliste ! 🎉

Aujourd’hui, nous plongeons dans un sujet qui, je suis sûre, résonnera avec beaucoup d'entre vous : le perfectionnisme. Ce petit démon insidieux qui peut nous paralyser et nous empêcher d’avancer, à tel point qu'il a failli faire avorter cet épisode ! 😅

Je partage avec vous un parcours personnel où le perfectionnisme m’a conduit à perdre de vue l’essentiel – communiquer authentiquement avec vous. Je me suis laissée piéger par l’idée que tout devait être parfait : du matériel au montage en passant par les visuels. Mais j'ai appris qu’il est crucial de simplifier, de revenir à l’essentiel et de rester fidèle à soi-même, même si cela signifie enregistrer depuis mon camping à bord de Luna avec un micro cravate et mon téléphone ! 🌧️🎙️

Nous aborderons ensemble comment le perfectionnisme peut freiner notre processus de désencombrement et comment adopter une approche plus douce et bienveillante.

Nous explorerons :

• La nécessité d’objectifs réalistes

• L'acceptation des erreurs comme partie intégrante du processus

• La gestion de la pression des autres et de nos propres attentes

Je vous encourage à écouter cet épisode avec la promesse que l’imperfection est souvent la clé de la véritable connexion et de la progression personnelle. Comme toujours, l’important est de faire de notre mieux, sans se laisser bloquer par la quête de la perfection. ✨

Restez inspirés et souvenez-vous : Fait, c’est mieux que parfait.

Bonne écoute et à très bientôt pour un nouvel épisode !

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Lorsqu'on voyage, se loger est certainement dans le top 3 des plus grosses dépenses de notre budget. 💸

Avez-vous déjà entendu parler du house sitting? (gardiennage de maison, en français)

Le principe? 🤔

🏠 Garder une maison (n'importe où dans le monde!) et/ou des animaux à l'intérieur pendant l'absence des propriétaires.

C'est gratuit autant pour vous (le house sitter) comme pour les propriétaires. Tout le monde y trouve donc son compte. 🤝

🎤 Pour mieux connaître ce mode de voyage différent, j'ai invité une experte qui voyage aux 4 coins du monde, depuis plusieurs années, grâce au gardiennage de maison : Danielle Huard.

Danielle et son conjoint ont eu la piqure lorsqu'ils ont trouvé leur première maison dans la jungle au Costa Rica.

Alors que Danielle était passionnée par son métier sur les plateaux de tournage, des problèmes de santé cardiaque la poussent à changer de vie. 💖

D'un gardiennage de 15 chats simultanés à la vie qu'elle pensait rêvée dans un château, Danielle Huard a tout un tas d'anecdotes à nous raconter pour que (à votre tour?) vous ayez envie de vous lancer. 🚀

🎧 Dans cet épisode depuis l'Espagne (où elle garde une maison!), Danielle nous raconte :

• Comment sa santé a été un déclic pour changer de vie

• Comment elle a découvert le gardiennage de maison (house sitting)

• Comment elle a trouvé un logement en seulement une semaine dans la jungle du Costa Rica... pour six à huit mois avec son conjoint!

• Pourquoi c'est important d'avoir quelqu'un dans sa maison quand on s'absente plusieurs mois... pour ne pas être mal prise avec ses assurances en cas de dégât!

• Comment le télétravail aide ce mode de vie

• L'importance d'un beau profil, de bonnes communications et d'une lettre de présentation pour maximiser ses chances d'être choisi(e) par un(e) propriétaire (house sitter)

• Idéal vous ne voulez plus/pas de maison et d'animaux, mais que vous voulez quand même en profiter

• Son expérience de gardiennage d'un manoir et un château (!!) en France

• Les pièges de certaines offres de house sitting (là où il vous faudra être vigilant)

• Ne pas confondre les tâches de Work Awayet de house sitter

• Ce qui lui a donné envie de monter une formation pour les futurs house sitters

• Le House sitting (ou pet sitting) ne sont pas des vacances

• L'importance de l'entrevue entre propriétaires et house sitters pour établir la confiance mutuelle avant de partir.

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Références mentionnées dans le podcast

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🏡 Vivre à 3 dans une mini maison de 250 pieds carrés (soit 23 mètres carrés). Rêve ou cauchemar?

C'est la réalité de mon invitée Élise Vigneault, qui habite une mini maison (« tiny house » en anglais) avec son conjoint et sa fille de 6 ans... par choix!

Et pour Élise, c'était même son rêve! ✨

Évidemment, c'est passé par un processus de désencombrement et un mode de vie minimaliste qu'elle prône d'ailleurs en étant organisatrice professionnelle, comme moi. 🙌

À quoi ressemble le quotidien dans une mini maison? 🤔 Élise nous raconte tout ça dans cet épisode de podcast.

🎙 J'ai aussi invité Élyse Tremblay, directrice générale de Minimaliste, fabricant de minis maison sur roues québécois, qui nous explique tout ce qu'il faut savoir sur ce genre de constructions uniques.

Si l'idée d'avoir une mini maison que vous pouvez déplacer avec vous vous titille, vous risquez d'avoir bon nombre de réponses à vos questions ici!

🎧 Voici les sujets que nous abordons avec Élyse Tremblay sur la construction d'une mini maison.

• Qu'est-ce qu'une mini maison?
• Exemple de ce qu'elle comporte dans un 250 pieds carré
• Servent-elles pour faire du camping?
• Une mini maison nomade ou semi-permanente? Comment faire le bon choix?
• Avoir une mini maison au centre-ville, c'est possible?
• Les règlements d'urbanisme qui vous empêcheront de construire dans certains endroits
• Une alternative à la densification urbaine (Québec l'intègre dans son plan 2020-2030 / Toronto autorise déjà ce type d'habitation)
• Les premiers clients au Québec sont des pionniers
• Petit = pas cher?
• Une construction complexe avec des matériaux durables et renouvelables
• Pourquoi ne faut-il pas comparer le pied carré d'une maison standard avec celui des maisons mobiles?

Élise Vigneault sur le quotidien dans sa mini maison

• Le confort que chaque chose est à sa place
• Les habitudes à changer : électricité, eau, espace, épicerie
• Le sentiment de vacances que ça procure
• 3 qualités qu'on développe : communication, harmonie et débrouillardise
• Un mode de vie possible en famille (avec un enfant)
• Comment s'organiser pour télétravailler?
• Comment chauffer une mini maison en hiver?
• Le désencombrement pour se préparer à vivre dans plus petit

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Il a parcouru 40 000 km, soit 40 pays, en 4 ans... à vélo! 🚴🌏

Ça a l'air d'un exploit. Pourtant, rien ne prédestinait mon invité à réaliser un tel voyage!

Quelques années avant cette aventure, Jonathan B. Roy pensait que « voyager était une perte d'argent ». « Je paye déjà un appartement, pourquoi je paierais pour un billet d'avion et des hôtels?! ». 🤔

À 24 ans, Jonathan se laisse convaincre par un ami de voyager en attendant ses résultats de l'École du Barreau. C'est là qu'il a la piqure. ✨

Jonathan a surtout envie de sortir des sentiers battus en allant rencontrer les locaux de chaque pays qu'il visite.

C'est ainsi qu'il choisit le vélo pour voyager alors qu'il est « assez peu athlète ».

Il pensait partir seulement un an en Angleterre. Il pédale finalement pendant 4 ans aux 4 coins du monde : de l’Europe jusqu’en Malaisie, puis en Amérique du Sud.

Documenter ce voyage en textes et en photos lui permet de faire paraître deux livres, récits de son escapade : « Histoires à dormir dehors » en deux tomes. 📚

Fascinant!

Vous le savez, je suis passionnée du « Vivre et voyager autrement », alors Jonathan B. Roy était un invité tout indiqué pour Le podcast minimaliste.

Curieux.ses d'en entendre plus sur son voyage?

🎧 Voici les sujets que j'aborde avec lui dans cet épisode :

• Les avantages de voyager à vélo
• Son rythme
• Pourquoi les cyclistes voyageurs attisent-ils la curiosité des locaux?
• Comment se préparer pour une telle escapade
• Les critères pour choisir sa destination
• Partir sans lendemain
• Le budget de Jonathan : 25 $ CAN par jour
• Le désir de rencontrer des locaux : quand leur petite histoire raconte la grande Histoire du pays/de la région visité(e)
• Comment son voyage lui a-t-il permis de créer son propre emploi?
• Comprendre un territoire en roulant (lentement)
• Pourquoi c'est un voyage plus mental que physique
• Les pays les plus accueillants
• La capacité d'adaptation nécessaire
• L'écriture de son livre Histoires à dormir dehors
• Ce genre de voyage est à la portée de TOUS et TOUTES (les rencontres de Jonathan sur la route en témoignent!) : de personnes âgées à des familles avec trois jeunes enfants à vélo, voyageurs en fauteuil roulant ou en planche à roulettes
• Les barrières sociales qui tombent dans ce genre de voyage
• Sa participation au programme de Airbnb « Live Anywhere »
• L'anecdote incroyable d'un milliardaire brésilien qui a envié le voyage à vélo de Jonathan
• et d'autres anecdotes de voyage extraordinaires!

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Vivre et voyager autrement. C'est le titre de l'émission estivale que j'ai animée à la radio CKRL, à Québec, en 2022. 📻

Ayant moi-même tout quitté pour aménager un autobus scolaire et vivre la vie nomade, ce thème me parlait beaucoup. 💚

🎙 Après avoir interviewé Sophie qui vit en famille sur un voilier, je vous présente Liana Razanamparany et Alexis Merluzzi, qui comme moi, résident dans un « schooly » réaménagé en véhicule récréatif nommé Hubuscus.

♻ Engagés dans la cause écologique depuis leurs études, ils ont converti leur bus à partir de matières recyclées, recyclables et durables trouvées à la recyclerie de La Patente (Québec), Marketplace ou encore de bonnes affaires en quincailleries!

Liana et Alexis ont travaillé avec des entreprises québécoises qui ont aussi ces valeurs écoresponsables à coeur comme Alt-Énergie (équipement solaire) 🌞 et NovEnviro (isolation 100% naturelle). ⚜

Objectif de leur voyage? 🎯

🌎 Du Canada au Mexique, en passant par les États-Unis, le couple rencontre des acteurs et des entreprises agissant dans la « préservation de nos espaces », tous secteurs confondus : énergie, habitat, alimentation, faune, flore, social, innovation et les modes de vie alternatifs.

Ils documentent ensuite toutes ces initiatives sur leur blogue, chaîne Youtube et réseaux sociaux. 🎥📝

Au moment où on a enregistré cette émission, Liana et Alexis voyageaient depuis seulement deux semaines et demie et se trouvaient au Manitoba, près du Parc national de Mount Riding. 🍁

🎧 L'aventure vous intéresse? Voici les sujets que nous abordons dans cet épisode de podcast :

• Trouver la bonne taille d'autobus
• Deux mois de transformation à temps plein
• Un véhicule écoresponsable, c'est possible?
• L'autonomie en eau et électricité
• À quoi ressemble leur vie nomade
• Le minimalisme, incontournable dans ce mode de vie
• Rouler en autobus au diesel tout en compensant son empreinte carbone en collectant des déchets et en plantant des arbres. Objectif : 280 arbres!
• Comment plante-t-on des arbres pour compenser
• Les petits gestes écologiques qui font la différence

🌳 Tous les 100 km, Liana et Alexis s'engagent à planter un arbre en partenariat avec des associations et Arbres Canada.

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Leurs reportages sur Youtube

Et pour savoir où ils sont rendus sur le continent, suivez-les sur Polar Steps.

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Adopter un chien, c'est toute une décision. 🐶 Y avez-vous déjà pensé?

🎧 Dans cet épisode de podcast, mon invité est Christophe Corré, coach pour humain en comportement canin et fondateur d'ORUS.

Vous avez des problèmes avec votre chien? 🙋

Christophe est l'homme qu'il vous faut! Mais attention : « Je travaille avec l'humain, pas avec le chien », prévient-il.

Son objectif? 🎯 Montrer à l'humain que le problème, ce n'est pas le chien, mais bien souvent notre façon de lui parler ou de se comporter avec lui.

Notre point commun à Christophe et moi? 🤔 On entre dans la vie des gens quand ça ne va pas bien...

Et dans ces moments difficiles, les gens malheureux ont tendance à ajouter des choses (nouvelles habitudes, nouveaux objets, acquisitions, projets non alignés...) plutôt qu'à en éliminer pour s'allégier.

Lors de mes interventions en désencombrement, j'ai aussi remarqué que ces personnes ont tendance à adopter un chienen pensant que ça les aidera. 🤷

Le minimalisme, c'est aussi ça : prendre un pas de recul pour se demander (et savoir!) ce dont on a vraiment besoin.

🎙 Si vous hésitez à adopter un chien, voici les sujets que l'on aborde avec Christophe Corré et qui pourraient vous aider à prendre votre décision.

• Les quatre questions à se poser avant d'adopter un chien
• Pourquoi ça devrait être une décision unanime dans la famille?
• Qu'est-ce que l'adoption responsable?
• Pourquoi favoriser un refuge plutôt qu'un éleveur?
• Les besoins essentiels du chien
• Pourquoi s'encombre-t-on avec du matériel superflu pour animaux alors qu'ils n'ont pas besoin de tout ça?
• Le budget moyen pour subvenir aux besoins de son chien toute sa vie
• Le chien n'est pas une solution pour régler une problématique dans la famille
• Donner la « juste » place à l'animal (ni trop ni pas assez) : quelle est la limite?
• L'importance de l'essai/erreur pour éduquer son chien
• 70 % du succès d'une bonne intervention en coaching canin... vient de vous! (et vice-versa en cas d'échec) Pour le reste, c'est 10 % qui provient du coach et 20 % du chien.

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➡ Besoin de conseils pour adopter un chien ou vous aider avec celui que vous avez à la maison? Contactez Christophe Corré :

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