
Le chef-d'œuvre inconnu
Impossible d'ajouter des articles
Désolé, nous ne sommes pas en mesure d'ajouter l'article car votre panier est déjà plein.
Veuillez réessayer plus tard
Veuillez réessayer plus tard
Échec de l’élimination de la liste d'envies.
Veuillez réessayer plus tard
Impossible de suivre le podcast
Impossible de ne plus suivre le podcast
OFFRE D'UNE DURÉE LIMITÉE
3 mois gratuits
Cette offre est valable du 16.09.2025 au 16.10.2025.
1 livre audio par mois au choix dans notre catalogue inégalé.
Écoutez des milliers de livres audio, podcasts et Audible Originals.
Après 3 mois, 9,95 €/mois.
Accédez à des ventes et des offres exclusives.
Acheter pour 5,95 €
-
Lu par :
-
Nicolas Planchais
-
De :
-
Honoré de Balzac
À propos de ce contenu audio
Le jeune Nicolas Poussin, encore inconnu, rend visite au peintre Porbus dans son atelier. Il est accompagné du vieux maître Frenhofer, qui émet de savants commentaires sur le grand tableau que Porbus vient de terminer. Il s'agit de "Marie l'Égyptienne", dont Frenhofer fait l'éloge, mais qui lui paraît incomplet. En quelques coups de pinceau, le vieux peintre métamorphose le tableau de Porbus au point que "Marie l'Égyptienne" semble renaître à la vie après son intervention.
Toutefois, si Frenhofer domine parfaitement la technique, il lui manque, pour son propre ouvrage, "La Belle Noiseuse", toile à laquelle il travaille depuis dix ans, le modèle en art idéal, une femme qui lui inspirerait la perfection vers laquelle il tend sans jamais l'atteindre. Ce futur chef-d'œuvre, que personne n'a encore jamais vu, serait le portrait de Catherine Lescault. Poussin propose au vieux maître de faire poser la femme qu'il aime : la belle Gillette, ce que Frenhofer accepte. La beauté de Gillette l'inspire à tel point qu'il termine "La Belle Noiseuse" très rapidement. Mais, lorsque Poussin et Porbus sont conviés à l'admirer, ils n'aperçoivent sur la toile qu'une petite partie d'un pied magnifique perdu dans une débauche de couleurs. La déception qui se lit sur leurs visages pousse le maître au désespoir. Le lendemain, Frenhofer meurt après avoir mis le feu à son atelier.
La poursuite d'un idéal de perfection dans la création artistique peut-il conduire à la folie ? Cette histoire où l'on devine quelques figures mythiques, Orphée, Pygmalion, et Prométhée, peut le laisser penser.©Domaine public (P)2014 Compagnie du Savoir

Vous êtes membre Amazon Prime ?
Bénéficiez automatiquement de 2 livres audio offerts.Bonne écoute !
Lecture trop rapide
Une erreur s'est produite. Réessayez dans quelques minutes.