Arts et divertissement

Jusqu'à ses dix-sept ans, Kendji Girac n'a jamais voyagé autrement qu'en caravane ni rêvé d'une autre vie que la sienne. Découvert dans The Voice (TF1) en 2014, il touche immédiatement le cœur des Français avec son large sourire, sa voix chaleureuse et sa guitare entraînante. Mais un matin d'avril 2024, après dix ans d'une carrière fulgurante, un drame fait la une des médias, révélant un visage plus fragile et tourmenté de l'artiste.

Voici le tome de la mise en œuvre: un parcours complet de la charpente et de la couverture, qui part des origines en bois jusqu’aux combles les plus savants, pour guider du choix des essences au tracé des fermes, des cintres et des toitures selon le climat et l’usage. On y apprend quand couper le bois, comment le sécher, quelles propriétés attendre du chêne, du sapin, du mélèze ou du cèdre, et pourquoi certaines pièces résistent mieux au feu, aux vers ou à l’eau en fondations sur pilotis.

Plongeon fulgurant aux sources de notre imaginaire, ce premier tome d’Histoire de l’art d’Élie Faure retrace la naissance du regard humain, des grottes paléolithiques aux colosses d’Égypte, des taureaux ailés d’Assyrie aux temples grecs irradiés de lumière, jusqu’à Rome et son génie des pierres et des routes. En conteur-poète et historien visionnaire, Faure révèle comment les œuvres ne sont jamais décor, mais systèmes vivants de forces, où la forme épouse la fonction et l’idée devient chair — l’art comme langue commune, respiration des peuples et mémoire du monde.

Ce troisième tome de l'Histoire de l'art d'Élie Faure est une immersion magistrale dans l'essence de la Renaissance, cette ère de renaissance créative où l'art transcende le Moyen Âge pour embrasser l'individualisme et l'humanisme. À travers une analyse vivante des foyers italiens comme Florence, Rome et Venise, l'auteur décrypte les révolutions esthétiques portées par des géants tels que Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphaël et Titien.

Ce cinquième tome est l’atelier final où la théorie devient chantier: un guide précis du « travail de maçonnerie » et de l’« art de toiser » qui apprend à mesurer, estimer et organiser une opération de construction de bout en bout. Rondelet y montre comment passer de l’ouvrage projeté au prix juste, en détaillant mesures métriques vs. anciennes, conversions, unités pratiques, et toutes les composantes d’un devis: matériaux, déchets, taille, montage, mortier, faux-frais et bénéfice.

Voici le tome qui transforme la théorie en ouvrage: un guide vivant et rigoureux de la construction en pierre de taille, des appareils antiques aux principes de stabilité, jusqu’à la taille précise des voussoirs et la pose des voûtes les plus exigeantes. On y traverse Égypte, Grèce, Rome et même Andes pour comparer appareillages, dimensions colossales et liaisons, puis l’auteur formalise les règles: centre de gravité, équilibre, assises, parpaings, crampons, et chaînes de bois selon Vitruve.

Voici le volume où l’Art de bâtir devient une science exacte: un cours limpide de statique appliquée, qui relie calcul, géométrie et expérience pour dimensionner fondations, murs, arcs, dômes et contreforts avec sûreté. Rondelet y clarifie la place de la théorie (de Vitruve aux modernes) et montre comment centres de gravité, leviers, plans inclinés, frottement et poussées conduisent à des choix de formes, d’épaisseurs et d’appareils réellement stables.

Madame Grès : qui se cache derrière la célèbre créatrice au turban, icône de la mode pendant plus d'un demi-siècle ? Mondialement reconnue pour ses drapés antiques, elle pare Marlène Dietrich, Barbra Streisand ou Silvana Mangano de robes somptueuses, et s'entoure d'artistes comme Jean Cocteau ou Tamara de Lempicka. Ses clientes et amies comptent parmi les femmes au coeur du pouvoir : Jackie Kennedy, Liliane Bettencourt, Marella Agnelli, la princesse Grace de Monaco... Travailleuse passionnée, le "sphinx" dirige avec panache la Maison Grès, 1 rue de la Paix, qu'elle a créée en 1934.

Le parfait équilibre d'Okionuk est ébranlé par l'arrivée d'un marchand proposant des objets aussi surprenants que superflus. Les villageois ne possédant pas d'argent pour se les offrir, il propose d'être payé en mots. Rapidement, la langue disparaît et avec elle, les pensées, l'imaginaire et la mémoire.