Couverture de In violentia veritas

In violentia veritas

Aperçu
Essayez pour 0,99 €/mois Essayer pour 0,00 €
Offre valable jusqu'au 12 décembre 2025 à 23 h 59.
Jusqu'à 90% de réduction sur vos 3 premiers mois.
Écoutez en illimité des milliers de livres audio, podcasts et Audible Originals.
Sans engagement. Vous pouvez annuler votre abonnement chaque mois.
Accédez à des ventes et des offres exclusives.
Écoutez en illimité un large choix de livres audio, créations & podcasts Audible Original et histoires pour enfants.
Recevez 1 crédit audio par mois à échanger contre le titre de votre choix - ce titre vous appartient.
Gratuit avec l'offre d'essai, ensuite 9,95 €/mois. Possibilité de résilier l'abonnement chaque mois.

In violentia veritas

De : Catherine Girard
Lu par : Catherine Girard
Essayez pour 0,99 €/mois Essayer pour 0,00 €

3 mois pour 0,99 €/mois, puis 9,95 €/mois. Possibilité de résilier chaque mois. Offre valable jusqu'au 12 décembre 2025 à 23 h 59.

9,95 € par mois après 30 jours. Résiliez à tout moment.

Acheter pour 22,95 €

Acheter pour 22,95 €

3 mois pour 0,99 €/mois Offre valable jusqu'au 12 décembre 2025. 3 mois pour 0,99 €/mois, puis 9,95 €/mois. Offre soumise à conditions.J'en profite

À propos de ce contenu audio

Lorsqu'elle découvre à quatorze ans qu'on la surnomme « la fille de l'assassin », Catherine Girard interroge son père Henri Girard – plus connu sous son nom de plume, Georges Arnaud, auteur notamment du célèbre roman Le Salaire de la peur. L'horreur de ce que le vieil homme lui apprend plonge l'adolescente dans le déni. Un demi-siècle plus tard, dans un geste d'amour, elle se confronte à ce passé abyssal.
Le matin du 24 octobre 1941, au château d'Escoire, le père d'Henri Girard, sa tante et leur servante sont retrouvés morts, atrocement massacrés à la serpe. Seul survivant, Henri est inculpé, emprisonné dix-neuf mois dans l'un des cachots les plus insalubres de France et promis à la guillotine. Il est finalement acquitté.
L'énigme du triple assassinat d'Escoire, tant de fois revisitée, ne fut jamais élucidée.
Dans ce magnifique récit littéraire d'investigation familiale, Catherine Girard nous offre enfin sa vérité. D'une puissance exceptionnelle, In violentia veritas marque la naissance d'une écrivaine.

©2025 Audiolib (P)2025 Audiolib
Arts et littérature Auteurs
Les membres Amazon Prime bénéficient automatiquement de 2 livres audio offerts chez Audible.

Vous êtes membre Amazon Prime ?

Bénéficiez automatiquement de 2 livres audio offerts.
Bonne écoute !

    Ces titres pourraient vous intéresser

    Couverture de La serpe
    Couverture de La nuit au coeur
    Couverture de L'Affaire de la rue Transnonain
    Couverture de Vichy, histoire d'une dictature 1940 - 1944 Couverture de Finistère
    Couverture de Kolkhoze
    Couverture de Haute-Folie
    Couverture de La maison vide
    Couverture de Le Chant du prophète
    Couverture de Une drôle de peine Couverture de La Bonne Mère
    Couverture de James
    Couverture de Les preuves de mon innocence
    Couverture de L'annonce
    Couverture de Mon vrai nom est Elisabeth
    Couverture de Un perdant magnifique
    Tout
    Le plus pertinent
    Je tombe... sur un article... consacré à... Javier CERCAS...

    " Pour Javier Cercas, l'écriture procède d'une transformation quasi mystique de la douleur en art. "Notre carburant, c'est la douleur, c'est la violence, c'est l'horreur". L'auteur assume pleinement cette dimension vampirique de l'écrivain. Cette vision de l'écrivain comme "charognard" n'est pas cynique, mais révèle une conception noble de la littérature. Cercas compare les grands auteurs aux alchimistes : "Les meilleurs de nous sont comme les alchimistes, ces fous qui voulaient transformer le fer en or. Cervantès, Dante, Voltaire, les grands écrivains, transformer la douleur, la violence en sens et en beauté."
    La douleur... la violence... l ' horreur...
    le beau livre... de Catherine GIRARD... relève... de cette vision de la littérature...
    À un moment... elle nous rapporte... qu' un jour... son père... lui dit... que jusqu ' à 23 ans... il n' avait été... qu ' un " petit con "...
    Il en avait 24... lorsqu' il commit... son crime de dément...
    Comment... le " petit con "... a-t-il pu en arriver... à agir... en veritable monstre... c ' est la question... avec laquelle... se collete... Catherine GIRARD... le " petit con "... son insouciance... ses frasques... ses pieds-de-nez... On l' imagine tres bien... acoquiné... à une de ces bandes... de jeunes surréalistes... irreverencieux... qui mettaient le bourgeois en fureur ( son " carton "... sur les horribles portraits de famille... au château d ' Escoire ! ) ... ... mais... curieusement... le surrealisme... il semble... n ' y avoir prêté... aucune attention... lui... pourtant si au fait... de la vie littéraire... L' Amour... la Liberté... ça aurait dû lui parler !... Il s ' enferma... de plus en plus... en lui-même ... solitaire... de plus en plus... egocentrique... menteur... trompeur... manipulateur... voleur... amoral... couvant... la malefique graine... enfouie en lui... jusqu ' à l ' eclosion... du monstre diabolique... Littéralement... " possèdé "... l ' acmé... de sa transe... trouva... sa resolution... dans le plus sordide des mobiles... faire main basse sur l' heritage !... La coupe de sa malediction... il la but... jusqu ' à la lie !... Jusqu'... hallali !... Bien extraordinaire histoire ... Quelque chose de surnaturel... en elle... d ' occulte... Comme écrite... par des puissances... nous dépassant... Cet impossible acquittement !... Quel incroyable concours de circonstances... y présida !... En Novembre 1941... pas même un mois... après la tragédie... la Justice... modifia... la composition... des jurys d ' Assises... Désormais... les jurés populaires... seraient assistés... dans leurs délibérations... par le President de la Cour... et ses deux juges adjoints... Decision... qui fit bondir... Maurice GARÇON!... Dix - huit mois plus tard... le ... HASARD ?... voulut... que Henri HURLAUX... designé... comme President... au procès GIRARD... ait quelques services à demander à l ' avocat... en échange de quoi... il serait tout dévoué à sa cause... Et il le fut !... Censé guider les jurés... dans l' etablissement... de leur intime conviction... en dix minutes... Henri GIRARD... etait acquitté !... N ' est-ce pas... " prodigieux " ?...
    ( tout ceci est su... aujourd ' hui... grâce à la correspondance... échangée entre les deux hommes... que Maurice GARÇON... aussi étonnant... que cela paraisse... ne retira pas des archives... dont il fit don à " l' Etat " !... Une forme de confession... avant de passer... dans cet au-delà... auquel il croyait... ?...)...

    Ce monstre... une vingtaine d' années plus tard... devint le père... de Catherine GIRARD ( mais aussi de deux fils... qu ' il eut... une quinzaine d' années avant... d' une autre femme... après avoir dilapidé son heritage... et avant de s ' embarquer... pour l' Amerique centrale... et d ' une autre fille... soeur de Catherine )... Un père qui l ' a tant aimée... Elle... sa fille... qui l' aime tant...

    Il y a... cet episode... de la vie... du jeune Henri GIRARD...
    Au début de la guerre... il fit tout... pour aller combattre... alors que... sa nature chétive... lui avait valu la réforme... Il se retrouva dans la troupe... un barda de 30 kilos... sur les épaules... Au bout de quelques heures... de marche... il s ' effondra... Malgré tous les efforts... de sa volonté... il ne put repartir... Obligé de boire sa honte...
    Cet episode... est l' image fidèle... de ce que fut sa vie... avant... " la catastrophe "...
    Trop lourd le fardeau ... qu ' il n' avait pas demandé à porter... de plus en plus lourd...
    Une fuite en avant... de plus en plus égarée... jusqu '...
    Sa fille nous raconte toute l' histoire familiale... le " nid de vipères "... qu ' etait cette famille... Toute sa violence... ses faux-semblants... ses mensonges... le sac de noeuds... de son amour... de ses rancoeurs et de ses haines... le " barda " ( karma ?)
    étouffant... écrasant...

    " Et quand bien même vous pourriez me donner la raison de cet état, je refuserai de vous entendre parce qu'en naissant j'avais déjà le sort et qu'on ne peut rien à cela. " ( Henry MILLER... " Tropique du Capricorne ")...

    Le lecteur se trouve plongé... dans un livre... qui le ramène aux grandes questions... qui font... les tortures... des candidats au baccalauréat !... La liberté... le libre arbitre... le destin... Le... DESTIN !... Ce semble être... la seule réponse... que puisse apporter Catherine GIRARD... Les... 3... citations... en exergue... de son livre... l ' annoncent d' entrée... Son écriture... le manifeste... La tonalité... d ' une tragédie grecque... avec des pages purement narratives... des plages... où le lecteur... reprend souffle... ( et elle aussi... sans doute !) ... Pour ma part... j' ai trouvé... que... par-ci par là... l ' auteur... force un peu le trait... certaines phrases... sont d' un " littéraire "... trop appliqué... deux ou trois préciosités... aussi... Légers défauts... d ' un premier livre... sur lesquels on passe volontiers... Catherine GIRARD... n' a nul besoin... de faire ecrivain... Elle est un écrivain !...

    Ce livre... à son coeur défendant... en etablissant ... la vérité historique... policière et judiciaire... rend caduque.... la construction... fantasmagorique... echaffaudée... dans un livre-enquête... qui a connu un grand succès... ( suivez mon regard )... Son auteur avait le droit de se tromper... pas celui d ' accuser... sans l' ombre d ' une preuve... une famille de gens frustes... ne disposant pas... de l' arme du langage... pour se defendre... ( l ' ignoble manière... dont l' avocat GARCON... plein de morgue et de suffisance.. les ecrasa... durant le procès... avant de les accuser... nommément... l'' anaphore... TAULU... TAULU... TAULU... dans la peroraison... de sa plaidoierie... À vomir !... )...
    Les tous derniers mots... de " In violentia veritas "... sont le dernier remerciement... - d ' une liste... de... 3... pages... - que Catherine GIRARD... a à adresser...

    " À Sebastien TAULU et son épouse , pour le splendide bouquet de fleurs " ...

    Ne serait - ce... que pour avoir rendu possible... cet émouvant geste de gratitude... MERCI à Catherine GIRARD...

    " L' homme que j ' etais , je ne ne le suis plus "... En exergue d' un livre de Henry MILLER... je ne sais plus lequel...
    Henri GIRARD... devenu... Georges ARNAUD...
    Il me semble avoir lu... que ce sera... l ' objet... d' un autre livre... de Catherine GIRARD...


    Il en va... avec cette lecture... par l ' auteur... comme il en va... le plus souvent... quand les auteurs... lisent leurs propres livres... un hiatus... entre leur voix intérieure... et son expression physique... Ce curieux phénomène... se produit... ici aussi...
    Peut-être... un lecteur... aurait-il mieux rendu... la puissance du texte... Ou peut-être... qu ' au lieu... de se lire... Catherine GIRARD... aurait-elle dû... nous parler... Je ne sais... si on voit... ce que je veux dire...


    " Témoignage de première main "... ai-je titré... ce commentaire... Ce livre... sent trop... le vécu... - en particulier... le récit... du triple crime - pour ne pas... donner l ' impression... que son auteur... ne nous dit pas tout...
    Dix années... se sont écoulées... entre l' aveu de son père... alors qu ' elle était... une adolescente de 14 ans... et sa mort... quand elle était devenue... une jeune femme... Il ne me semble pas du tout impossible... qu' à ce moment là... il lui ait fait une confession... plus circonstanciée... Peut-être même... confié un écrit... Il etait ecrivain... avant tout... " Henri GIRARD - Escritor - "... a-t-il fait graver sur sa tombe... Il m ' apparait... des plus plausibles... qu' il ait rédigé le récit... de sa tragédie... Le contraire... me surprendrait même...

    J ' ai oublié de dire... que dans son livre... Catherine GIRARD... très discrètement... sans aucune insistance... se confie... sur sa propre vie... un terrible secret... elle aussi... qu' elle ne put que cacher à son père...






    Temoignage de première main

    Une erreur s'est produite. Réessayez dans quelques minutes.