Résultats lu par "Fabienne Prost" dans Toutes les catégories

Ce roman, édité pour la première fois en 1833, est l'ouvrage le plus réimprimé au cours du 19ème avec plus de 40 éditions.

Depuis une quinzaine d'années, le stress est considéré comme un véritable trouble de la santé, avec des conséquences psychosociales réelles.

Victor Hugo s'empare de l'histoire véridique de Claude Gueux pour explorer les fondements de la criminalité parmi les hommes. Aux racines de la pauvreté et de l'injustice sociale, un magnifique plaidoyer contre la peine de mort.

"La Vie de Lazarillo de Tormes" est un roman épistolaire espagnol publié anonymement en 1554 et qui est généralement considéré comme étant le premier roman picaresque. Il raconte l'histoire de Lazaro, surnommé Lazarillo, un jeune garçon issu d'une famille modeste. Son père est mort et sa mère l'abandonne ; s'ensuit une série d'aventures où Lazarillo passe du service d'un maître à celui d'un autre. Il vit en marge de la société et dépeint celle-ci avec ironie et dérision.

"Les habits neufs de l'empereur" est un conte d'Hans Christian Andersen, paru la même année que "La petite sirène", en 1837, et sans doute inspiré d'une histoire espagnole. Un roi vaniteux, n'aimant rien plus que les beaux habits, se voit promettre une étoffe à nulle autre pareille par deux escrocs. Lorsque ceux-ci la lui présentent, il ne voit rien, tout simplement parce qu'il n'y a pas d'étoffe ; mais il se tait car il ne veut pas passer pour un sot. Une chose en entraîne une autre, et lorsqu'il se retrouve à parader avec ses nouveaux habits, le peuple interloqué reste bouche bée.

Hans Christian Andersen a écrit environ cent-cinquante contes de fées dont le style, la concision et l'inspiration originale lui ont valu une gloire immédiate dans de nombreux pays, sauf au Danemark, où l'on a tardé à reconnaître son talent. Est-il besoin de présenter l'un des contes d'Andersen que nous adorons tous ? Dans un puits profond, un petit crapaud se morfond. Il rêve de voir la lumière du soleil, de sortir du puits pour découvrir le monde.

Misère et famine règnent dans le pays. Un bûcheron et sa femme n'ont plus de quoi nourrir leurs sept garçons. Un soir, alors que les enfants dorment, les parents se résignent, la mort dans l'âme, à les perdre dans la forêt. Heureusement, le benjamin de la fratrie, surnommé "Petit Poucet" en raison de sa petite taille, espionne la conversation. Prévoyant, il se munit de petits cailloux blancs qu'il laissera tomber un à un derrière lui afin que lui et ses frères puissent retrouver leur chemin.

Les lettres de Fanny Hill prônent non seulement le libertinage - elles sont immorales - mais elles dépeignent également d'une manière efficace les mœurs anglaises du XVIIIe siècle. Au-delà du charme érotique de l'ouvrage, cette minutieuse chronique permet à l'auditeur de comprendre la vie dans le Londres de ce siècle.

Le premier conte s'appelle la princesse Labam, où l'on voit un jeune prince remuer ciel et terre pour rencontrer et épouser la princesse Labam. Il lui faut cependant traverser de nombreuses épreuves, et comme il a la bonne idée de se faire des alliés avec les gens et animaux qu'il a rencontré sur son voyage, ceux-ci viennent l'aider quand il a besoin d'eux. Le tigre, le brahmane et le chacal est plus un conte où la ruse prime. Le plus sot n'est pas celui qu'on croit.