ANNE AUDA
- 2
- critiques
- 1
- vote utile
- 7
- notes
-
Sodome et Gomorrhe
- À la recherche du temps perdu lu par de grands acteurs 4
- De : Marcel Proust
- Lu par : Guillaume Galienne
- Durée : 21 h et 18 min
- Version intégrale
-
Global
-
Performance
-
Histoire
Que vis-je ! Face à face, dans cette cour où ils ne s'étaient certainement jamais rencontrés (M. de Charlus ne venant à l'hôtel Guermantes que dans l'après-midi, aux heures où Jupien était à son bureau), le baron ayant soudain largement ouvert ses yeux mi-clos, regardait avec une attention extraordinaire l'ancien giletier sur le seuil de sa boutique, cependant que celui-ci, cloué subitement sur place devant M. de Charlus, enraciné comme une plante, contemplait d'un air émerveillé l'embonpoint du baron vieillissant.
-
-
le meilleur de la série
- Écrit par : Godot49 le 02/01/2020
- Sodome et Gomorrhe
- À la recherche du temps perdu lu par de grands acteurs 4
- De : Marcel Proust
- Lu par : Guillaume Galienne
splendide interpretation
Rédigé le : 10/09/2018
splendide et magistrale interprétation seul le talent de Guillaume gallienne pouvait rehausser l oeuvre de Proust
un pur bonheur
1 personne a trouvé cela utile
-
Le dernier jour d'un condamné
- De : Victor Hugo
- Lu par : Bernard Métraux
- Durée : 3 h et 15 min
- Version intégrale
-
Global
-
Performance
-
Histoire
Victor Hugo nous fait entrer dans la tête d'un condamné à mort qui attend son exécution. On ignore qui il est, quel crime il a commis. Car l'auteur ne veut pas débattre mais montrer l'horreur et l'absurdité de la situation. Son texte a une telle puissance de suggestion que l'auditeur, s'identifiant au narrateur, partage avec lui l'angoisse et les vaines espérances. Réquisitoire le plus véhément jamais prononcé contre la peine de mort, ce roman est aussi une admirable leçon d'écriture et d'humanité.
-
-
Une claque !
- Écrit par : Margaux Gruwe le 19/12/2019
- Le dernier jour d'un condamné
- De : Victor Hugo
- Lu par : Bernard Métraux
saisissante interprétation
Rédigé le : 30/06/2018
incontournable texte de Hugo rehaussé par la lecture talentueuse de Bernard Metraux. bravo et merci